Le film met du temps à démarrer (15 minutes de blabla autour d'un remplacement de pneu crevé), mais dès que le sniper se manifeste, on commence à rentrer dans l'histoire et on se dit d'emblée que les petits jeunes sont bien mal barrés, surtout qu'ils ne semblent pas très dégourdis pour la survie, ils multiplient les choix idiots et meurent les uns après les autres.
Au moment où le film se remet de nouveau à ronronner, l'action redémarre grâce à l'arrivée de deux éléments extérieurs vraiment jouissifs, et l'apothéose est atteinte lors d'un final déjanté, et une situation finale vraiment jubilatoire (je laisse le plaisir au spectateur).
Un très bon film d'horreur, assez gore par moments, mais très réussi.
Créée
le 25 juil. 2018
Critique lue 294 fois
D'autres avis sur Downrange
Un film très mauvais, des acteurs d'une médiocrité absolue, un scénario inexistant. Un huit clos en plein désert mais filmé sur trente mètres carrés. Un sniper qui tire tout le film sur des jeunes au...
Par
le 22 avr. 2019
6 j'aime
Ça commençait bien puis c'est parti en vrille. En effet, le début est assez chouette car on ne perd pas trop de temps. Bon, on étire sans doute trop le moment avant qu'il y ait la première victime,...
Par
le 26 juil. 2018
6 j'aime
Dans une route déserte en Californie, un des pneus d'un pick-up éclate, laissant les six ados qui faisaient du covoiturage dans la panade. Sauf qu'ils vont se rendre compte qu'un sniper embusqué les...
Par
le 29 juin 2021
5 j'aime
Du même critique
Avalonia est dans l'air du temps : une fable écologiste décroissante qui mise sur la diversité des personnages et coche toutes les cases d'un cahier des charges que certains pourraient qualifier de...
Par
le 5 déc. 2022
32 j'aime
7
Ca faisait 8 ans qu'un nouvel Astérix n'était pas sorti, et on peut dire que le dernier opus n'était pas bien terrible, ni au niveau du scénario, ni au niveau du dessin, bien en dessous de la moyenne...
Par
le 24 oct. 2013
28 j'aime
14
Je n'ai jamais autant soupiré à la lecture d'un Werber. En fait, à bien y réfléchir, je n'ai jamais autant été agacé à la lecture d'un roman. Ici, Werber est totalement en roue libre et nous propose...
Par
le 22 mars 2017
25 j'aime
3
