Premier Dracula de la Hammer vraiment consistant en terme de scénario. Un triangle amoureux avec la serveuse et les deux jeunes héros, deux prêtres à la personnalité fouillée, de bons et dynamiques dialogues dans la taverne : finalement, Dracula est relégué au second plan et les bons acteurs autour en profitent pour donner du corps et de l'esprit à l'ensemble. Même la mort de Dracula est pleinement réussie car la dimension dramatique est plus poussée que lors des trois épisodes précédents et moins exagérée aussi dans ses circonstances.