Dragon Ball Z : Cent mille guerriers de métal par Incertitudes

Cooler nous devait une revanche après un combat sur Terre bien trop vite expédié contre Sangoku, son fils et ses amis Krilin et Piccolo. Bien que terrassé dans La Revanche de Cooler, dans Dragon Ball Z, personne ne meurt véritablement. Tout le monde trouve une bonne raison pour ressusciter.

Cent Mille guerriers de métal met une nouvelle fois les Nameks à l'honneur. Des Nameks réduits en esclavage par des robots et ce sera la tâche de Sangoku d'aller les délivrer. Point appréciable, Yajirobé, Oolong et Tortue Géniale sont de la partie et amènent cette touche d'humour qu'on attendait d'eux entre deux combats. Même si en dehors de ça, ils n'apportent rien, on est bien d'accord. Leur puissance étant trop faible.

Le combat entre Sangoku et Cooler est assez rude et le twist arrivant dans le dernier tiers de l'OAV est bien venu même si la thématique des robots n'est pas nouvelle vu qu'elle a été abondamment utilisée dans l'arc Cell avec les cyborgs C17, C18 et C16. Il n'empêche que ça change que tout ne se finisse pas par une gigantesque boule de feu propulsant le super-vilain dans le soleil le plus proche.

On retrouve aussi les musiques tantôt épiques tantôt inquiétantes de la série animée qui passait au Club Dorothée. Je l'avais en VHS celle-là et déjà ce qui m'avait frappé à l'époque, c'est que les ennemis de Sangoku faisaient toujours la même erreur. Celle de faire preuve de trop d'arrogance. Même après une cuisante défaite, enfermé dans leur orgueil, j'ai remarqué qu'ils n'étaient pas fichus d'apprendre de leurs erreurs. Et Cooler n'y échappera pas.