Agréable surprise
Alors là, je dois dire que je suis plus que surpris : jamais je n'aurais cru dire un jour du bien d'un film de Gilles Paquet-Brenner, que j'avais jusqu'à maintenant tenu comme l'un des réalisateurs...
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le 9 oct. 2011
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Plus subtil et moins lourd que La rafle, Elle s'appelait Sarah fait pourtant preuve d'un ton moralisateur parfois pesant qui empêche de s'attacher à certains personnages. Plus que le thème de la déportation, c'est la quête de la vérité et son influence qui est au centre de l'intrigue. Le récit, alternant les époques, est parfaitement structuré bien que peu aidé par une mise en scène quasi inexistante.
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Créée
le 27 sept. 2015
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