Quand une certaine partie de la population a arrêter de lire, de s'informer, de regarder des émissions. De s'instruire en somme. Un des moyen qui reste pour éclairer leurs lanternes peut être le cinema.
Alors on pond un film ce déroulant dans une classe - pas trop grande, on est pas dans un film d'horreur -, on caricature le quotidien du professeur - histoire d'égayer l'ignare -, et on agrémente le tout de speudo messages type : la philo c'est sympa, la fraternité c'est cool, le respect c'est essentiel.
Les média, toujours sensible au film dit : "intello" encense le film, comme le prouve cette "journaliste" : " le film... ...agiter par toute les grandes questions existentiel que son le pouvoir, la relation à la morale, la transmission du savoir... ...un film... ... d'une grande profondeur" merci France 24.
Devant tant de critique dithyrambique, les masses abondent, et le César ponctue l'engouement médiatique entourant cette fiction aux messages d'une pauvretés abyssale, mais suffisante pour intéresser bon nombre de téléspectateurs.
Forcement, dans cette configuration, il ne faut pas s'étonner qu'une branche de la population se désintéresse de toute culture, quand on l'incite ardemment à voir un film ou le néant fait office de profondeur.
Ne vous attarder donc pas sur ce film, on a déjà suffisamment d'émission bien plus enrichissante - sur ARTE notamment - pour qu'on aille dépenser nos rond la dedans.