Et (beaucoup) plus si affinités par cityhunternicky
Et (beaucoup) plus si affinités nous raconte la rencontre entre Wallace et Chantry.
Bon, on va pas se mentir, mais c’est sans véritables raisons que j’ai fondu devant ce film. Car oui, vous avez vu cette histoire peut être trop de fois et cet énième scénario n’apporte pas grand chose à l’ensemble des films romantiques, mais pour autant le côté mignon a réussi à l’emporter sur mon scepticisme concernant la prévisibilité évidente. Rien de neuf sous le soleil, mais est-ce vraiment ça que vous recherchiez ?
Mais pourquoi craquer pour ce film ? D’abord parce qu’on dira ce qu’on veut, mais le duo principal marche très bien. Il sont mignons, ils sont crédibles, et leur amitié ne fait aucun doute grâce aux situations à la fois banales et assez marquées dans lesquelles leur amour évolue. Sans trop pousser mémé dans les orties, on rigole et on y croit à leur vie et aux péripéties qu’ils traversent. Bien qu’au bout d’un moment, il ne faut pas oublier de conclure.
Certaines longueurs sont donc bien présentes, notamment à l’approche de la fin et de sa conclusion. On se dit parfois que Daniel Radcliffe en fait un peu trop et que son personnage est trop caricatural, mais cela ne vient pas de son jeu d’acteur ou de son personnage. Zoe Cazan confirme cette situation et accentue le contraste avec les personnages secondaires, qui peuvent être eux, beaucoup trop exagérés.
Pour conclure, Et beaucoup plus si affinité ne renouvelle pas le genre, mais reste mignon, notamment grâce à son couple principal.