PER QUALCHE DOLLARE IN PIU, c'est dès un second film l’avènement total d'un genre à part et d'une créativité cinématographique énorme (qui sera encore dépassée par la suite). Généreusement construit, rythmé et magnifiquement mis en scène, c'est une chasse à l'homme implacable et un véritable diamant du genre qu'on ne se lasse jamais de regarder.

Créée

le 8 févr. 2013

Critique lue 359 fois

1 j'aime

MaximeMichaut

Écrit par

Critique lue 359 fois

1

D'autres avis sur ...Et pour quelques dollars de plus

...Et pour quelques dollars de plus
Sergent_Pepper
9

Expansion du domaine de la joute.

Le deuxième volet de la trilogie du dollar suit un principe qui ne cessera jamais dans la filmographie de Leone : celui de l’expansion. Tout ce qu’annonçait le matriciel premier opus s’épanche ici,...

le 6 déc. 2014

74 j'aime

10

...Et pour quelques dollars de plus
DjeeVanCleef
9

Sixty-Seconds To What

Sergio Leone grandit Viale Glorioso, à Rome, dans les années 30. À l'âge de 19 ans, il écrit son premier scénario, une histoire de rite de passage autobiographique auquel il donne le nom de la rue de...

le 7 août 2014

69 j'aime

3

...Et pour quelques dollars de plus
B_Jérémy
10

Gian Maria Volontè, Gian Maria Volontè, Gian Maria Volontè...

Les hommes meurent jeunes par ici. Et toi, combien de temps comptes-tu survivre ? Mmm... Bien plus longtemps que ça. Dès que j'aurais mis la main sur Indio et les 10 000$, je m'achèterai un...

le 22 août 2020

64 j'aime

35

Du même critique

Un homme idéal
MaximeMichaut
5

"Le sable était noir..."

À l'image de son titre fraudeur, Un Homme Idéal patine prévisiblement sur ses ambitions de thriller référentiel, mésaventure romantique d'un plagiaire glissant sur la pente rocambolesque du crime...

le 25 mars 2015

23 j'aime

The Homesman
MaximeMichaut
8

Critique de The Homesman par MaximeMichaut

THE HOMESMAN est un sublime western empli de folie douce, où Tommy Lee Jones encre son talent de metteur en scène en brouillant avec talent les limites entre réalisme et fantastique, âpreté et...

le 19 mai 2014

15 j'aime

Baby Driver
MaximeMichaut
8

Des promesses à tenir et des miles à parcourir avant de revivre

Fraîchement rejeté du projet Ant-Man par l'écurie Marvel, Edgar Wright s'est lové dans l'un de ses amours majeurs de cinéma, The Driver de Walter Hill, pour enfin donner naissance à un projet vieux...

le 22 juin 2017

13 j'aime