Mariage tardif
Le film souffre d'un petit ventre mou : le début est bien, la fin est excellente mais, au milieu, il y a une petite baisse de rythme. Rien d'insupportable cependant. On trouve ici le thème majeur du...
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le 22 mars 2012
19 j'aime
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Critiques
Le film souffre d'un petit ventre mou : le début est bien, la fin est excellente mais, au milieu, il y a une petite baisse de rythme. Rien d'insupportable cependant. On trouve ici le thème majeur du...
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le 22 mars 2012
19 j'aime
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La famille, le mariage avec une pincée de conflits entre les générations, inutile de vous présenter les thématiques d'Ozu, inutile de vous présenter aussi la style filmique d'Ozu avec ses cadrages au...
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le 12 mars 2014
12 j'aime
Un film familial et intimiste d’Ozu, filmé comme toujours à quatre-vingts centimètres du sol en plans fixes (deux ou trois travellings tout de même, notamment lors de la fugue des enfants, mais très...
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le 14 juil. 2013
11 j'aime
Le cinéma d'Ozu est probablement bien défini, en première instance mais aussi, je trouve, de manière tout à fait valable, comme des variations plus ou moins marquées autour des mêmes thèmes qui...
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le 14 déc. 2023
9 j'aime
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Pour mémoire : deux gosses (têtus) qui fuguent de la maison, qui jouent au train en invitant leurs copains et en occupant tout l'espace de circulation. Des adultes qui mangent des confiseries en...
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le 9 sept. 2015
6 j'aime
Eté précoce s’avère une petite réussite agréable. Les personnages y sont attachants, on se délecte de leur quotidien avec facilité. Yasujiro Ozu développe également une mise en scène moins statique...
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le 22 oct. 2012
5 j'aime
Plonger dans ce film d’Ozu, c’est plonger dans le calme, la paix. Cela tient au rythme lent qui déroule tranquillement le quotidien, aux plans fixes composés avec soin. L’œil se repose, notre rythme...
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le 6 janv. 2024
3 j'aime
6
Les films d’Ozu se ressemblent tous, c’est une évidence : toujours les mêmes thèmes, toujours les mêmes personnages, toujours les mêmes acteurs, toujours les mêmes décors. Cela s’applique...
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le 24 sept. 2018
3 j'aime
2
Je ne saurais m'expliquer cela, mais ça y est ; cette critique inaugure pour moi la découverte du cinéma de Yasujirô Ozu. C'est un peu comme Ingmar Bergman, c'est un cinéma qui me refroidissait un...
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le 20 nov. 2018
2 j'aime
Je connais surtout les Ozu de la fin. Je découvre, à l'occasion de la rétrospective d'Arte, cet Eté précoce. Qui, comme souvent, parle du fait que des parents doivent laisser partir un enfant qui se...
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le 26 nov. 2023
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