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L'amour à mort
Troisième film de Jacques BECKER sorti dans les salles en 1945, Falbalas prend la forme d'une plongée ethnographique matinée d'onirisme. L'œuvre joue en effet sur deux tableaux, deux thèmes,...
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le 23 mars 2011
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Vaincu par l'amour
Mort d'amour pour n'avoir pas voulu aimer, c'est ce qui pourrait résumer la très belle histoire du film de Jacques Becker : Falbalas ou comment le jeu et le cynisme d'un Don Juan se retournent contre lui, l'entraînant quoi qu'il fasse, dans un amour absolu qui le conduira à sa perte.
Un film qui débute comme une comédie légère, avec pour décor l'univers apparemment frivole de la mode et de la Haute Couture, et qui se termine en drame. Raymond Rouleau est Philippe Clarence, couturier parisien de renom : il est époustouflant dans ce rôle d'homme à femmes, narcissique, charmeur et cynique, puis dans celui d'un homme anéanti par un sentiment amoureux qu'il n'a jamais connu.
Micheline Presle, elle, incarne bien la femme sincère, entière et amoureuse, mais qui se révèle impitoyable face à la lâcheté et au manque d'engagement.
Que valent l'argent et la réussite comparés à l'amour?
Un film vrai, sensible et émouvant, très juste dans des portraits comme je les aime.
Un film qui débute comme une comédie légère, avec pour décor l'univers apparemment frivole de la mode et de la Haute Couture, et qui se termine en drame. Raymond Rouleau est Philippe Clarence, couturier parisien de renom : il est époustouflant dans ce rôle d'homme à femmes, narcissique, charmeur et cynique, puis dans celui d'un homme anéanti par un sentiment amoureux qu'il n'a jamais connu.
Micheline Presle, elle, incarne bien la femme sincère, entière et amoureuse, mais qui se révèle impitoyable face à la lâcheté et au manque d'engagement.
Que valent l'argent et la réussite comparés à l'amour?
Un film vrai, sensible et émouvant, très juste dans des portraits comme je les aime.
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Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Ces titres qui me font rêver, Don Juan : l'éternel séducteur face à la caméra, Il était une fois les années 1940 au cinéma..., Si Paris m'était conté... et la Mort leur va si bien...
Créée
le 28 juil. 2011
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