Enivrante dénonciation d'Ikea.
Fait absolument tout pour paraitre cool et y parvient le plus souvent.
Cela dit, la voix off, omniprésente et démonstrative, aurait gagné à apparaitre un peu moins.
Très écrit, chargé de punchlines brillantes, bravo à Fincher ou à Palahniuk ?
Les grands films en principe se bonifient à chaque visionnage.
Pas Fight Club, qui perd beaucoup en effets de surprise sans gagner en significations nouvelles.
Le twist final est-il essentiel au film, ou bien l'alourdit-il d'un propos embrouillé qui n'a rien à faire là ?
Les gants de vaisselle de Brad nu après le massacre d'Helena, un régal.
Certainement dix ou quinze minutes de trop.
Débats sans fin sur l'idéologie "nazie" du Fight Club, dont le narrateur lui-même se désolidarise discrètement et tardivement.
Film bourrin pour abrutis imberbes ou fable libératrice pour anars intellos ? Il a su plaire à tous.
Et soudain, un pingouin en CGI.