2
Un sacré ratage
Sur le papier, l’intrigue sent bon la fin de soirée télévisuelle dominicale, mais pourquoi pas : un ado disparaît dans une banlieue parisienne, un flic marchant à l’instinct cuisine les parents et un...
le 8 juin 2018
20 j'aime
3
Les barbus sont des tordus
Je m'attendais à un polar français bien naze. Tout n'est pas juste mais c'est loin d'être aussi mauvais que ce que j'avais présagé.
L'intrigue fonctionne. Un peu brouillon au début, avec une sous-intrigue pas vraiment intéressante, et il faut attendre avant que les personnages ne se révèlent, mais ça reste assez chouette, un peu glauque aussi (mais j'aurais voulu que les auteurs déballent leur jeu directement afin de mieux exploiter cette situation au lieu de jouer la carte de la fausse piste et du mystère).
La mise en scène est correcte : le découpage et montage fonctionnent assez bien, la photographie est plaisante. C'est le casting et la direction d'acteur qui posent problème : deux gros acteurs qu'on ne parvient pas à oublier malgré leurs efforts pour disparaître derrière le personnage et l'impression d'un concours de celui qui a la plus grosse par moment, lorsque les deux s'affrontent ; on en vient donc parfois à un jeu de cabotinage déplaisant. Heureusement, il reste les scènes en solo un peu plus sobre (quoique Cassel a du mal à se faire petit) et donc plus juste et plus agréable.
Bref, ça se regarde bien en fait.
6
Écrit par
Créée
le 6 déc. 2018
Critique lue 218 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Fleuve noir
9
On n'est pas là pour philosopher, Carpentier ! ...un diamant noir du cinéma Français
(encore un de mes textes fourre-tout et maladroit, plutôt un aide-mémoire perso ;-D ) Le diamant noir est une pierre précieuse naturelle, considéré comme une anomalie de la nature dans l’univers...
Par
le 16 mars 2019
18 j'aime
16
8
Une affaire de pères
Un père dévoré par son métier et séparé de son épouse peine à entretenir le lien avec son fils adolescent et le voit lui filer entre les doigts, lorsque celui-ci se laisse entraîner par de jeunes...
le 10 août 2019
11 j'aime
2
Du même critique
5
Django in White Hell
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
121 j'aime
35
10
Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
115 j'aime
45
5
Critique de Taxi Driver par Fatpooper
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
103 j'aime
55
