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western moderne et triste mélopée
Caméra d’Or en 1984 avec Stranger Than Paradise, Prix de la Meilleure Contribution Artistique avec Mystery Train en 1989 et la Palme d’Or du Meilleur Court Métrage, avec Coffee and Cigarettes (Somewhere in California), en 1993, Jim Jarmusch fait partie des auteurs-réalisateurs les plus doués et les plus originaux de sa génération. Il est difficile de détacher un seul film des autres, tant l’ensemble est du plus haut niveau. Au premier abord désinvolte et décousu, l’univers de Ghost dog dévoile l’ambiguité du personnage, et se révèle tissé de subtiles références, au fur et à mesure que le film avance, au code des samuraïs, à la culture Hip Hop et au cinéma de Jean-Pierre Melville. Chaque film de Jarmsuch est unique, et je peux vous garantir qu’en grand fan du bonhomme je ferai le pied de grue dès l’aube cette année à Cannes pour voir Only lovers left alive.
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Créée
le 12 mai 2013
Modifiée
le 16 sept. 2013
Critique lue 434 fois
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