Malgré des images de toute beauté, ce Ghost in the Shell se révèle froid et sans émotion. Ce n’est seulement dans sa dernière partie qu’il se réveille. Et encore, le boss final n’est pas franchement terrible. Bref, l’exemple parfait du film poseur. L’inverse de l’expression « Ce n’est pas l’habit qui fait le moine », soit « Ce n’est pas le moine qui fait l’habit. »… Euh, quoi ? Ouais, je comprends. Même moi, je me suis embrouillé. Allez, je fais simple : c’est beau, mais c’est creux.
La critique qui va se regarder un truc qui bouge pour reprendre vie : http://marvelll.fr/critique-ghost-in-the-shell-2017/