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Résultat, un film captivant de bout en bout, qui, loin d'être un simple film de vengeance, est aussi une tragédie antique sur la filiation. Et la révélation du film, pour moi, n'a pas été Russel Crowe (par ailleurs excellent dans son rôle), mais Joaquin Phoenix. On dit qu'un bon film, c'est d'abord un bon méchant. Je trouve qu'ici on en a une brillante démonstration.
Jouant son rôle à fleur de peau, bien loin de l'ennemi diabolique sans faille, l'acteur se livre à une composition impressionnante de fils en manque de reconnaissance, sombrant progressivement dans la démence et la jalousie, et finalement prêt à toutes les fourberies et bassesses pour arriver à ses fins. Un personnage campé par un des acteurs les plus doués de sa génération.
Résultat, un film captivant de bout en bout, qui, loin d'être un simple film de vengeance, est aussi une tragédie antique sur la filiation. Et la révélation du film, pour moi, n'a pas été Russel Crowe (par ailleurs excellent dans son rôle), mais Joaquin Phoenix. On dit qu'un bon film, c'est d'abord un bon méchant. Je trouve qu'ici on en a une brillante démonstration.
Jouant son rôle à fleur de peau, bien loin de l'ennemi diabolique sans faille, l'acteur se livre à une composition impressionnante de fils en manque de reconnaissance, sombrant progressivement dans la démence et la jalousie, et finalement prêt à toutes les fourberies et bassesses pour arriver à ses fins. Un personnage campé par un des acteurs les plus doués de sa génération.
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le 21 août 2011
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