Il y a maintenant dix-neuf ans, M. Night Shyamalan nous offrait ce qui, encore aujourd'hui, est considéré comme étant le film de super-héros réaliste. Ici, pas de grand méchant qui veut détruire le monde ou de justiciers capables de voler ou de lancer des rayons laser avec ses yeux, de combats épiques, ni même de grande confrontation entre le Bien et le Mal : Incassable changeait clairement la donne par rapport à l'idée de ce que l'on se faisait des films du genre.


Pourtant, il s'agit bien d'un film de super-héros dans la mesure où le protagoniste principal, David Dunn, va réaliser, suite à un accident dont il est sorti sans une égratignure, qu'il est "incassable" : jamais malade et ne pouvant être blessé, David profite également d'une force surpassant celle des autres mortels et va même développer, à l'aide d'Elijah, un passionné des comics qui est grandement intéressé par le cas de ce sur-homme, une capacité intuitive poussée à l'extrême lui permettant de savoir, par un simple toucher, ce que n'importe quelle personne a commis comme méfaits.


L'aspect réaliste du film réside dans le fait que David Dunn est, dans le fond une personne sans histoire. Cependant, à la différence des autres films de super-héros, le personnage principal n'est pas un jeunot tout excité à l'idée de découvrir ses pouvoirs : il s'agit ici d'un père de famille. Cela est important puisque David va mettre du temps avant d'accepter ce qu'il est. Le rythme du film est donc lent et s'attarde plus sur les dialogues que sur l'action. Les échanges entre David et Elijah, qui se veut être le personnage le plus intriguant du film, sont particulièrement intéressants puisque les deux personnages sont fondamentalement opposés : Elijah souffre, en effet, d'une maladie rendant ses os aussi fragiles que du verre. Son amour pour les comics va d'ailleurs naître en raison du fait qu'il a passé une grande partie de son enfance dans un lit d'hôpital, avec pour seul passe-temps la lecture. C'est également à partir de là qu'il va commencer à échafauder la théorie qui va lui donner une raison de vivre : si un être tel que lui existe, il doit exister un être qui lui est opposé en tout point. Elijah va donc jouer un rôle crucial dans l'acceptation identitaire de David, mais également la sienne. La sublime réplique "now that we know who you are, I know what I am: I'm not a mistake!" souligne parfaitement cela.


Par ailleurs, pour revenir à l'aspect réaliste du film, on peut également mentionner le costume de David Dunn, une simple cape de pluie, qu'il endosse durant la dernière partie d'Incassable, le fait que son seul point faible soit l'eau ou encore la séquence finale qui est très similaire à celle d'un biopic puisque le réalisateur a fait le choix de nous indiquer ce qu'il advenait des personnages, sans nous le montrer, comme si les faits relatés s'étaient véritablement passés.... Et on aurait très bien pu en rester là. Mais ce n'était sans compter sur Split.


En effet, en 2016, M. Night Shyamalan nous présentait son nouveau film, avec en tête d'affiche un (ou devrais-je dire "des" ?) James McAvoy dont la prestation faisait, avant même la sortie en salle de Split, beaucoup de bruit. Sur le papier, rien ne pouvait nous laisser à penser que ce thriller-horrifique allait avoir un quelconque lien avec Incassable. Seulement voilà, Bruce Willis, le temps d'un caméo de dernière minute, reprend les traits de David Dunn, à la surprise générale.


Ainsi, par la simple allusion à Mr. Glass, qui tombait un peu comme un cheveux dans la soupe tant elle paraissait improbable, Split dévoilait sa véritable identité (vous m'excuserez le jeu de mot) : il s'agit en réalité d'un spin-off, particulier, certes, puisque le personnage de James McAvoy n'apparaît pas dans Incassable (quoi que certains soutiennent que Kevin est l'enfant qui se fait maltraité par sa mère que David croise brièvement à son travail) mais un spin-off non the less. Pour la petite histoire, le personnage de Kevin devait initialement être dans Incassable mais M. Night Shyamalan n'arrivait pas à lui trouver une place et a donc décidé de renoncer à l'intégrer dans l'intrigue. La dernière scène de Split n'a donc pas été rajoutée sur un coup de tête. En outre, certains indices pouvaient nous mettre sur la voie : le principal, selon moi, réside dans le fait que la thématique de l'identité est au cœur des deux films. Il peut être également avancé que Split est le reflet inversé d'Incassable puisque Kevin est, lui aussi, doté de capacités physiques qui dépassent la norme, mais contrairement à David, il ne les utilisent pas pour faire le bien : l'équilibre est donc renversé. Par ailleurs, la description de la Bête, la personnalité la plus dangereuse de la Horde, faite par Dennis, l'une des autres personnalités de Kevin, est très fidèle à celle de l'homme-fauve de la couverture du premier comics d'Elijah. Paradoxalement, les affiches des deux films constituent un indice si évident qu'il ne saute pas aux yeux, (posées l'une à côté de l'autre, elles se rejoindraient presque). Enfin, si vous désirez en avoir plus sur le rapprochement de ces deux films, je vous invite grandement à lire l'analyse très intéressante d'AntigoneIsQueen, qui s'attarde sur le traitement des personnages à travers les choix pris au niveau de la réalisation.


N'étant pas un grand fan des films du genre, je n'avais pas réellement apprécié Split, bien que je reconnaisse que la performance de James McAvoy relève d'un haut niveau. Si le film a su m'intéresser c'est justement en raison du lien qu'établit la dernière scène avec Incassable, aussi surprenant soit-il : le caméo de Bruce Willis faisait office d'une promesse d'un film qui saurait attiser la curiosité des fans d'Incassable mais également de ceux qui ont apprécié Split. Sans compter que ce rapprochement in extremis donnait l'occasion à M. Night Shyamalan de revenir sur ce qu'il avait voulu raconter dans Incassable, mettant en place, par la même occasion, un univers cinématographique potentiel, comme Marvel ou DC le font actuellement (bien que les propos du réalisateur ne semblent pas aller dans ce sens). A ce titre, Glass s'inscrit véritablement dans la tendance cinématographique actuelle, et ce à double titre, puisqu'il s'agit également de la suite d'un film sorti il y a plus de dix ans, comme cela a été le cas pour Star Wars, Blade Runner ou Trainspotting pour ne citer qu'eux. Cependant, il réussit à se démarquer car il ne se présente pas comme un film d'action à gros budget.


Pour ma part, cette suite m'intriguait comme m'inquiétait étant donné que j'avais peur du développement qu'avait réservé M. Night Shyamalan au personnage d'Elijah. Ce dernier a bien pu commettre des actes de terrorisme pour montrer, à soi-même mais également au reste du monde, que les super-héros existaient, je n'arrive pas à le considérer comme étant un méchant : il s'agit d'une âme brisée désespérée de trouver une raison à son existence ("do you know what the scariest thing is? To not know your place in this world. To not know why you're here. That's just an awful feeling..." disait-il à David lorsque ce dernier apprend qu'Elijah est le responsable de nombreux accidents, dont celui auquel il est le seul à avoir survécu). Cependant, et ce à mon grand regret, les bandes annonces présentaient le personnage de Samuel L. Jackson comme le bad guy du film. Néanmoins, il ne faut jamais se fier aveuglement à ce que l'on veut nous montrer pour nous vendre un film : je demeurais donc très curieux de découvrir Glass, même si, pour être tout à fait franc, ma crainte d'être déçu ne faisait que d'augmenter au fil des mois.


Qu'en est-il justement ? Pour répondre à cette question, je me dois d'évoquer certains éléments clés de l'intrigue.


L'action du film a pour point de départ la fin de Split avec la Horde en liberté et désireuse de montrer au monde ce dont elle est capable, ce qui fait forcément écho au souhait d'Elijah. Partant, une fois que le personnage de James McAvoy débarque dans l'hôpital spécialisé dans lequel se trouve Elijah depuis les incidents d'Incassable, l'union entre les deux personnages tombent sous le sens. Sans compter qu'à l'instar de Casey Cooke, qui avait réussi à s'échapper du repère de la Horde dans Split après s'être faite kidnappée, Elijah est une personne fondamentalement brisée : c'est avant tout cela qui explique le fait que la Bête, qui a pour devise "the broken are the more evolved", ne s'en prend pas à lui (on notera ici l'intelligence du choix du titre du premier film de la trilogie).


La première partie du film, dans laquelle David Dunn apparaît comme l'union parfaite de Superman et de Batman (lui qui agit dans l'ombre, qui est recherché par les forces de l'ordre et qui a même son propre Alfred en la personne de son fils, Joseph), est relativement courte puisque le personnage de Bruce Willis et de James McAvoy se font cueillir comme des bleus par le Dr. Staple, la psychiatre spécialiste de la pathologie de ceux qui pensent être des super-héros. L'introduction de ce nouveau personnage m'a semblé un peu trop brutale tant elle sort de nulle part mais la fin tend à relativiser cette impression. En revanche, j'ai été assez déçu par le fait qu'il ne nous soit pas expliqué comment a pu être mis au point le système de lumière. De prime abord, au regard des bandes annonces, j'avais émis quelques réserves le concernant dans la mesure où l'idée que l'on puisse choisir la personnalité de Kevin auquel on souhaite s'adresser aussi facilement que lorsqu'on veut changer de chaîne télé ne me paraissait pas vraiment crédible. D'un autre côté, le fait que ledit système utilise de fortes lumières est en raccord avec ce qu'il nous est expliqué dans Split étant donné que la Lumière est le nom donné à cette entité qui permet à l'une des personnalités de Kevin de prendre le contrôle. C'est donc avec une certaine déception que j'ai constaté qu'aucune explication tenant aux origines de ce système ne nous est donnée. Heureusement, le Dr. Staple se rattrape lors de la scène dans laquelle elle tente d'expliquer de manière rationnelle des événements qui semblent être inexplicables (le final de Split notamment), avant d'être au cœur d'un twist à rallonge qui n'est pas dénué d'intérêts mais qui, selon moi, tire un peu trop sur la corde.


La seconde partie se déroule dans l'institut. J'ai particulièrement apprécié l'idée que chaque chambre ait été équipée en fonction de son occupant. Cela ne concerne toutefois pas Elijah, qui garde le silence durant toute la première heure du film, ne nous adressant uniquement que quelques mimiques nerveuses et clins d’œils (il y a une sorte de teasing non assumé mais Samuel L. Jackson assure quoi qu'il arrive). Ce n'est qu'une fois franchie la moitié du film que le Master Mind se réveille et commence à mettre en œuvre son plan. On peut mentionner ici le travail de l'ambiance musicale qui joue beaucoup sur les tics tacs et qui souligne l'importance du timing dans l'organisation des allers et venues d'Elijah (même si la sécurité de l'hôpital laisse clairement à désirer). A propos de la sécurité des lieux, l'importance des caméras dans l'exécution du plan d'Elijah est également appréciable car David Dunn, qui a toujours travaillé dans la sécurité (on a même droit à une piqûre de rappel le temps d'un caméo poussif de M. Night Shyamalan, qui s'ajoute aux références peu subtiles aux précédents films), est le manager d'un magasin d'équipements affectés à cet effet.


Le film se conclu sur un affrontement final plutôt intense et bien mené, bien que le réalisateur ait choisi la facilité en ce qui concerne la révélation tenant à ce rapport de trinité entre les trois protagonistes principaux. Comme nous avions pu le voir il y a quelques mois avec les Crimes de Grindelwald, certains fans avaient déjà percé l'un des grands secrets que réservait l'intrigue de Glass avant même sa sortie. Après, rien ne nous oblige à prendre connaissance de ces théories qui fleurissent sur la toile, bien entendu. Cependant, la révélation est amenée avec si peu de finesse qu'elle vide, dans tous les cas, le climax de sa substance. Pour prendre la défense de M. Night Shyamalan, il faut prendre un certain recul puisque l'intelligence de l'écriture dudit twist a forcément souffert du nombre d'années séparant Incassable de ce troisième film.


J'aimerais maintenant revenir sur le personnage de Sarah Paulson et l'objectif qu'il poursuit. En effet, la psychiatre cherche à convaincre les membres du trio qu'ils ne sont, au fond, que des personnes ordinaires et que les super-héros n'existent pas. La scène dans la pink room est très certainement la séquence la plus intéressante du film puisqu'elle va réussir à remettre en question les capacités surhumaines de la Bête mais également celles de David, malgré toutes les nuits qu'il a passé à jouer au justicier. En lisant des avis sur Senscritique, j'ai pu mieux comprendre la place qu'occupe Joseph, le fils de l'Overseer, qui n'est pas là pour prendre la défense de son père lors de la séance avec le Dr. Staple. En réalité, si David a su se convaincre qu'il avait des aptitudes qui dépassent l'entendement, c'est principalement en raison de la foi que son fils a mise en lui (c'est ce que vient nous rappeler la scène tournée pour Incassable et réutilisée dans Glass). Le concernant, je me souviens avoir pensé lors de la scène se déroulant dans un terrain de basket et durant laquelle un élève soulève une certaine quantité de poids, faisant écho à la scène de musculation d'Incassable, que l'attention accordée au personnage de Spencer Treat Clark était trop importante, que cette scène n'était qu'une énième référence au film de 2000 et qu'il aurait mieux valu la couper au montage. Néanmoins, cette scène marque également la remise en cause de la croyance de Joseph : peut être que son père est un homme comme les autres après tout ? Cette question aurait pu être plus développée, notamment du côté de la Horde. J'aurais bien voulu avoir une scène au cours de laquelle James McAvoy passe d'une personnalité à l'autre, chacune participant au débat concernant la Bête car certaines d'entre elles, notamment Patricia, semblent commencer à voir les choses différemment. Mais ce n'était sans compter sur Elijah, le seul personnage qui ne remet pas, ne serait-ce que l'espace d'une seconde, en cause ses convictions.


Bien qu'elle ne soit pas aussi marquée que celle entre David et la Horde, l'autre confrontation du film oppose le personnage de Samuel L. Jackson à celui de Sarah Paulson. M. Night Shyamalan détourne notre attention en nous faisant croire que le cœur du film réside dans l'affrontement des deux sur-hommes (Elijah nous le vend même en nous promettant qu'il se tiendra lors d'une inauguration d'un des plus hauts skyscrappers des Etats-Unis et qu'il y aura beaucoup de victimes) alors que le véritable affrontement n'est pas physique mais mental ce qui est en parfait raccord avec ce que dit la mère d'Elijah à David à la fin d'Incassable : "there's always two kinds. There's the soldier vilain who fights the hero with his hands, and then there's the real threat, the brilliant and evil archenemy who fights the hero with his mind". D'ailleurs, le Dr. Stapel répond en quelque sorte à cette réplique en disant à David qu'elle ne considérait pas la société secrète dont elle fait partie comme quelque chose de malveillant (evil en anglais). C'est grâce à ces références beaucoup plus subtiles (on pourrait parler d'"échos") au premier film de la trilogie que le réalisateur du Sixième Sens montre qu'il avait déjà prévu un certain nombre de choses depuis Incassable et qui font que Glass mérite le coup d’œil pour ceux qui sauront les apprécier. Je tiens à remercier ici trineor qui m'a permis de mieux comprendre cette dimension du film et j'en profite pour vous recommander de lire sa critique.


En ce qui concerne la réalisation, j'avoue ne pas avoir été plus transcendé que cela, me souvenant surtout de certains plans à la première personne (celui qui adopte le point de vue d'Elijah dans la pink room m'a beaucoup plu). Les scènes d'actions sont lisibles et ne monopolisent pas le film, celui-ci se focalisant plus sur ses personnages, tout comme Incassable l'avait fait avant lui. D'ailleurs, pour revenir à l'écriture du personnage de Samuel L. Jackson, cette dernière s'inscrit bien dans la continuité du premier film et m'a, dans l'ensemble, convaincu : il ne s'agit toujours pas d'un véritable bad guy (certes, il y a quelques victimes (et encore il y en a peu) sur le chemin mais vous savez ce que l'on dit sur les omelettes et les œufs) mais d'un Elijah déterminé comme il ne l'a jamais été jusqu'ici à dévoiler aux yeux du monde l'existence des super-héros. David Dunn, qui est ici plus mis en retrait, et la Bête (sacrée performance de James McAvoy au passage) ne sont que des marionnettes au service de son plan (on retrouve un rapport similaire dans Batman v Superman dans lequel Lex Luthor tient les ficelles). Tout comme le réalisateur, l'Homme de Verre apparaît comme un véritable magicien qui réussi à détourner l'attention et qui a toujours un coup d'avance sur tout le monde. La résolution (ou "le prestige" pour les amateurs de Christopher Nolan) est somme toute assez classique mais le fait qu'aucun personnage ne réussisse à la contre-carrer suffit à la rendre efficace : ce qui compte, après tout, c'est que le magicien mène à terme son tour, tout en conservant la surprise jusqu'à la fin (s'il est possible pour nous, spectateur confortablement installé devant notre écran, de voir le twist venir, tel n'est pas le cas des protagonistes principaux du film, principalement le Dr. Staple, l'adversaire d'Elijah), n'est-ce pas ?


Glass, qui permet à M. Night Shyamalan de présenter ce qu'il avait en tête depuis quelques dizaines d'années maintenant et de revenir sur la thématique de la foi (que l'on retrouvait déjà dans Signs et The Village et qui aurait pu être davantage développée dans ce film), est une suite convenable puisqu'elle apporte une conclusion à cette trilogie si atypique mais manque d'enjeux, malgré une narration fluide et prenante, rendant l'ensemble assez fade, voire même creux ! 5/10 !

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le 23 janv. 2019

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vic-cobb

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