Après Monsters, Gareth Edwards remet le couvert dans le registre des films de monstre chiants, enlevant cette fois la dimension poétique qui sauvait sa production précédente. Toujours filmé la nuit ou dans la brume, histoire qu'on ne voie continuellement que dalle, affreusement générique, plombé par une musique aussi lourde que la créature elle-même, Godzilla est une immense déception et ne crée qu'une seule envie : retourner regarder Cloverfield.


Et les petits passages à la flûte de pan pour rappeler Jurassic park, sérieusement ?

Asoliloque
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le 26 févr. 2015

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