J'ai été abasourdi par le précédent volet et par sa nullité à mettre en scène de manière authentique ce dinosaure, pour ce Godzilla II, on reprend les mêmes recettes terriblement peu efficaces mais tellement simplistes. En soit, le dinosaure reste vraiment au bord du quai tant les acteurs prennent beaucoup trop de places, et où les discussions techniques et incessantes deviennent interminables et lourdes. Jamais, ce film trouve son rythme de croisière, à l'image des téléfilms morbides du dimanche après-midi. Définitivement, c'est un nouveau blockbuster encore bien mauvais qui envahit dans les salles.