La bande-annonce de Godzilla II promettait plein de choses appétissantes ; des combats homériques entre Godzilla, Ghidorah, Mothra ou Rodan, n'en jetez plus, je bave !
Sauf qu'entre tout ça, il y a des humains, et il faut qu'il y ait un trauma dont on n'a rien à faire, casé à la fin du film de 2014, dans un autre angle.
Je me dis que ça fait du boulot pour des gens comme Kyle Chandler, Millie Bobby Brown, Vera Farminga, Zhang Ziyi, Sally Hawkins, Charles Dance ou encore Ken Watanabe, mais il faut dire que quand on va voir un film avec des monstres qui se bastonnent, je n'attends que ça, et il faut un sacré paquet de temps avant que ça pète dans tous les sens, avec comme toujours l'impression qu'il n'y a aucune victime.
Mais du point de vue de la bagarre et de l'arrivée de Ghidorah sur le ring, je dois dire que c'est alors réussi, avec des effets spéciaux toujours plus impressionnants, et j'ai appris que Godzilla peut se régénérer à coup d'ogive nucléaire. Ce qui est déconseillé mais là, ça lui met le feu.
Bien que je n'aime pas beaucoup le premier film, signé Gareth Edwards, il mettait le paquet sur le visuel, que je trouvais sublime, ainsi que sur le gigantisme de la bébête, qu'on voit ici entièrement, ainsi que les autres monstres, mais il faut dire que là, elle impressionne moins.
Tout comme cette suite que j'ai trouvé au fond convenu, mais j'avoue que la scène après-générique, avec une autre bestiole promet un spectacle complètement Kong.