La menace nucléaire a changée, les films Gojira made in Japan se devaient de refléter ce changement.
Terminé le Gojira ami des humains qui poutre d'autres monstres. Ici il redevient la menace unique entre la catastrophe naturelle implacable et le dieu vengeur.
Ce qui surprend le plus dans ce film, c'est le côté humain uniquement vu par le prisme de la gestion de crise, c'est-à-dire par les politiques. A ma connaissance, c'est complètement original.
Contrairement aux Destrutio Interromptus du film d'Edwards, de nombreuses scènes de destructions/combats viennent contrebalancer les scènes de discussions.
La fin est un parallèle évident avec la situation actuelle japonaise: la menace est contenue mais reste visible et peut à tout moment se réveiller.