Dès l'apparition de George Clonney en roue libre avec son jet pack sur le dos (au bout d'une minute ?), le film nous propose du grand n'importe quoi hollywoodien. Il se balade tranquille sans aucune attache comme au volant d'une voiturette de golf, et 5 minutes plus tard il se balance de prise en prise comme un chimpanzé. Ce que j'imaginais être un survival de l'espace n'est qu'un grossier manège de fête foraine.
La minutie, les heures de planification, le temps que prend chaque action dans l'espace ; tous les éléments à fort potentiel dramatique sont évacués au profit d'un tour de grande roue du type Armageddon, mais qui se donne les allures d'un 2001.
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