...rien d'impossible.
Nan mais le gars, avec son téléphone, il peut pirater le logiciel de la prison où il purge sa peine et mettre des sous sur les cartes de cantine de ses collègues prisonniers. C'est un gentil hacker. Et il est blond, on dirait un sketche de Gad Elmaleh.
Il est tellement balèze en hacking, que le gouvernement chinois, pour coincer un méchant hacker qui a endommagé une centrale nucléaire en piratant le système de refroidissement, fait appel à lui via le gouvernement américain. Faut dire qu'un des chefs du renseignement chinois est son ancien colocataire, son frère pour ainsi dire... C'est ainsi que va se former une équipe composée du blond, du jeune chef chinois et de sa frangine qui est ingénieur réseau, et deux agents du FBI.
Le gentil hacker, est aussi beau gosse et il se tape discrètement la frangine de son pôte chinois. Il lui suffit de taper deux ou trois lignes de commande sur n'importe quel appareil électronique et le gars peut tout hacker. S'il voit un panneau avec des dizaines de serveurs, il sait immédiatement lequel prendre pour en récupérer les infos et évidemment, il a toujours la bonne connectique.
Il est également un dieu de la baston. Dans un petit restau, il se fight avec trois mecs costauds armés de couteaux, et il les terrasse avec la table et les chaises.
J'ai été surpris que le réalisateur ne mette pas une scène où il chante car il a une belle voix de stentor.
L'enquête va mener toute la petite équipe dans plein de pays d'Asie, ils n'arrêtent pas de voyager. Evidemment, aucun ne se plaint du décalage horaire. Bravant tous les dangers, malgré la perte de certains de leurs compagnons, ils se rapprochent sans faillir de leur but.
Mais à la fin, contre tout attente, au moment où il va enfin gagner, le héros se fait tuer.
Non, je déconne... Il gagne et il part avec la gonzesse.
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