Teresa, surnommée Tree, est une étudiante qui fait partie d’une sororité. Un matin, le jour de son anniversaire, elle se réveille dans le lit de Carter, et semble-t-il, violente gueule de bois, blackout total, la mémoire qui fuit, ne se souvient pas de grand-chose de ce qui s’est passé la veille.
Tree est une jolie connasse odieuse, qui, après sa journée de connasse, se fait assassiner par un tueur en habit sombre qui porte un masque de bébé joufflu. Avant de se réveiller de nouveau au même endroit et de revivre la même journée, et ainsi de suite.
Un film qui, même s’il est peu original et bourré de défauts, n’est pas si désagréable à regarder et, au final, se révèle être un divertissement honnête (pas très horrifique d’ailleurs). Il y a même de l’émotion vers la fin. On n’échappe pas au cliché de la « personne infecte qui devient cool avec les autres » au fur et à mesure, pensant peut-être que la boucle temporelle va s’arrêter une fois qu’elle aura fait le bien autour d’elle…