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Critique de Heinrich Himmler - The Decent one par ianov
Superposition monstre des figures du père, du mari, de l'amant et du Bourreau. L'assassin Himmler mystifié en simple travailleur. Glaçant ”
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le 1 févr. 2017
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Le Chagrin et la Pitié
Tout le concept de la "banalité du mal" d'Hannah Arendt illustré dans ce film. On rentre tout au long de ce dernier dans l'intimité de l'horreur. Une vie privée banale, totalement détachée des atrocités orchestrées par Himmler, de la lettre à l'eau de rose à sa femme ou son amante jusqu'aux mots tendres à sa fille, mis en parallèle avec les atrocité des camps et des brigades de la mort. Une dualité des personnages troublante.
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le 17 févr. 2015
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