Hercule ou le 1er enfumage médiatique de l'histoire de l'humanité. Hercule demi-dieu mouais !! Mi-homme, mi-molette (sale vanne, on va pas en faire tout un fromage). Hercule donc, doit entreprendre des travaux d'intérêt général (une douzaine quand même), il a vraiment du faire des conneries le mec.. Bref, le pitch parait sympa, direction le cinéma en version 2D, restons prudents. Mon dieu, quelle horreur, on a droit à deux pauvres travaux durant 1H40. En plus, on nous a menti, Hercule, Dwayne « je vais imploser » Johnson, tout en barbe et en muscles, terrasse un gros matou paresseux appelé le « LION DE L'ATLAS » à l'aide de plusieurs camarades hors champs. Ouh ! Remboursez. Il s'attaque ensuite à un gros sanglier pas très sympathique, toujours avec ses camarades de jeux. Gros sanglier dont j'ai oublié le nom, appelons-le « GROS GROIN GROIN ». D'ailleurs, tout est gros dans le film, surtout la tête du réalisateur Brett « J'ai le melon » Ratner, pensant tenir un scénar d'enfer. En parlant de mythologie et d'enfer, dommage qu'HADES n'est pas foutu le feu à une telle niaiserie. Les spectateurs transformés en statue de pierre restent médusés ! « Pourquoi on n'a pas revu le Disney, au moins c'était drôle ! », se lamente un spectateur contre un mur. Pour ma part, j'ai perdu le fil depuis longtemps dans ce labyrinthe de médiocrité. Au royaume de Thrace, nulle trace d'un bon film !! Pour ne rien n'arranger, mon pot d'échappement fait du bruit, il faut que j'aille chez « MIDAS ».