Critiques de I Don't Want to Sleep Alone

telestlindice
8

Ton corps est le mien

Des dizaines de personnes prient pour de l'argent : quelque peu, ou la fortune pour certains. Le prêtre est capable de leur donner les numéros gagnants d'une loterie. Hsiao Kang, sans le sou, sans...

le 5 août 2010

8 j'aime

Eggdoll
3

Endormant, comme son titre.

Ce film est censé représenter la nonchalance, les rapports languides et pluvieux entre les corps et le sommeil. Cela est tout à fait vrai : et le film en est complètement assommant. D'une lenteur...

le 3 oct. 2010

3 j'aime

2

Omelette-aux-Blettes
8

Critique de par Omelette-aux-Blettes

I don't want to SLEEP ALONE est le quatrième film que je vois de Tsai Ming-Liang et je commence sérieusement à l'apprécier. Il réalise un genre que j'aime beaucoup. On ressent très bien la pâte du...

le 26 nov. 2014

2 j'aime

Moorhuhn
5

... I just want to sleep tout court

Mon cinéma proposait une rétrospective et c'était avec crainte mais non sans espoir que je me suis lancé presque à l'aveuglette dans le visionnage de I don't want to sleep alone de Tsai Ming-Liang...

le 10 sept. 2012

1 j'aime

Océan
1

Rien

Dans ce film il ne se passe rien, les acteurs ne font rien, le réalisateur ne fait rien, du coup je n'ai rien envie d'écrire. A si le dernier plan est très jolie mais c'est juste que ce n'est pas...

le 8 août 2011

1 j'aime

6

FD29200
5

Critique de par F P

Cinéma lent sans dialogue, il arrive à nous porter tout de même. Mais 1h53 trop.

Par

le 6 sept. 2021

FelixMarret
8

Prendre le temps...

Il faut voir I don't want to sleep alone comme une proposition de cinéma qui sort des sentiers battus plus que comme un pied-de-nez au spectateur. En effet, le film peut déconcerter par sa forme qui...

le 1 nov. 2020

De_Lautréamont
7

Structures des hautes solitudes

Une scène d’amour avortée dans les suffocations d’un nuage de poussière, une ruine à la structure brutaliste décharnée dans laquelle se noie le béton et renvoie à des réminiscences d’architectures...

le 4 avr. 2020

Omia_Zhang
10

Critique de par Omia_Zhang

Une écriture cinématographique pure avec de l'image et du son, qui n'engage pas du tout le dialogue ni le texte.

le 19 mai 2014