Je n'ai pas adhéré à ce film, je ne sais pas pourquoi. Pourtant, il y a tout : le charismatique Tom Hanks, la sale guerre vu par les américains (super début avec la scène du débarquement, le 6 juin 44), l'horreur de la guerre (les violences, les non-dits, la déshumanisation) et le maître Spielberg à l'oeuvre dans les moments de guerre et l'intimité des personnages (notamment dans la psychologie de James, alias Matt Damon, LE Jason Bourne). Seuls bonheurs : Spielberg filmant la guerre et les sentiments humains et le génialissime duo Hanks-Damon. Vraiment, spectateurs ne prenez pas un autre Ryan, restez dans la guerre de Spielberg, qui est l'un de ses films majeurs.