Un homme, ancien artiste qui a perdu peu à peu la mémoire, sur le point de mourir, vit dans un monde imaginaire, inconscient de la présence de sa fille à ses côtés, blessée et en colère par l’absence d’affection qu’il lui montre.
En contraste avec la chambre toute blanche de son lit d’hôpital, il plonge encore plus profondément dans le monde sombre crée par ses souvenirs et par sa musique. Dans cet univers onirique, il est assaillit par ses ténèbres, tandis que peu à peu les souvenirs remontent à lui. Finira-t-il par les rattraper avant que les ténèbres ne l’engloutissent ?
Pendant ce temps dans le monde réel, sa fille, qui lui a toujours reproché d’avoir fait passé sa musique avant sa famille, est confrontée à une ancienne amie qui lui apprend à mieux connaître l’homme tourmenté qu’était son père. Elle découvre une noirceur dont elle ignorait tout, et qu’il avait sa propre façon de monter son amour. Parviendra-t-elle à le comprendre malgré son fort ressentiment ?
A travers la frontière entre la réalité et le rêve qui les sépare, le père et sa fille pourront-ils se retrouver ?

Je dois avouer que je n’étais pas tout de suite emballé. Je ne savais pas ou l’histoire voulait en venir, et les premières musiques associées aux images irréelles ne me séduisaient pas. Mais au fur et à mesure que le film avançait, j’entrais peu à peu dans cette histoire troublante. Et dès lors que se faisait entendre le magnifique morceau « I want my tears back » (EDIT : en faîte c'est "imaginaerum", oui comme le film!), j’étais sous le charme. Durant cette scène, comme celles qui viennent après, la musique et l’image se marient parfaitement ensemble. Le film mélange des scènes inquiétantes, magiques et étonnantes.

« Imaginaerum » est donc bel et bien un film surprenant et envoûtant comme on pouvait s’y attendre. Et même sans apprécier tous les morceaux de Nightwish, j’ai particulièrement bien aimé ce film.
Enlak
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le 12 juin 2013

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Enlak

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