Independence Day Resurgence

20 plus tard arrive la suite d’un des blockbuster catastrophe les plus connu, toujours réalisé par Roland Emmerich (Universal Soldier, Stargate, Godzilla, The Patriot, Le Jour d’après, 2012, 10 000, Anonymous, White House Down) expert en blockbuster catastrophe mais alterne bon divertissement et navet. Independence Day Resurgence est lui dans le bas du tableau, dixit le côté fun et grandiose du premier volet, on est ici très proche d’un Transformers, humour totalement déplacé et ringard, personnages stupides et inintéressants, scénario inepte et incohérent. Alors on ne passe pas tout de même un moment de torture car les effets-spéciaux sont excellents, le rythme très soutenu et les compositions de Harold Kloser et Thomas Wanker (10 000, 2012, White House Down) sont plutôt bonnes. Le casting est l’une des énorme faiblesse de ce film, les jeunes catastrophes et ridicules (Liam Hemsworth, Jessie Usher, Maika Monroe, Charlotte Gainsbourg) et les anciens fades et caricaturaux (Jeff Goldblum, William Fichtner, Sela Ward, Bill Pullman). En 1996 Independence Day était un blockbuster catastrophe décomplexé comportant son lot de qualités et de défauts, mais dans l’air du temps et sacrément fun a regarder. Cette suite est totalement inutile et ringarde la plupart du temps.

20 plus tard, Roland Emmerich nous livre une suite totalement inutile et ringarde, Independence Day Resurgence est plus proche d’un Transformers que de son prédécesseur. On ne passe tout de même pas un moment de torture cinématographique, mais sans intérêt et pas du tout mémorable. A éviter.