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Dan Brown nous entraîne toujours dans des univers plein de mystères et d'angoisse, souvent en phase avec l'actualité, dans la folie des hommes et leur envie de semer mort et désolation.

Après les mystères de "Da Vinci Code", après les "illuminati" traités par "Anges et démons", pourquoi ne pas parler de la menace bactériologique d'un des récents romans de Dan Brown, "Inferno".

Ron Howard s'est employé une fois encore (après "Da Vinci Code" en 2006 et "Anges et démons" en 2009) à mettre en images cette histoire de menace mondiale, où un fou (ou un génie, c'est selon l'idée que l'on se fait du futur de l'humanité) décide de supprimer une moitié de la population de la planète pour en sauver l'autre moitié.
C'est vrai ça, après tout, nous sommes de plus en plus nombreux, va bien falloir trouver une solution et celle ci n'est pas pire qu'une autre.

Robert Langdon est le personnage central de cette histoire, tout comme dans les deux opus précédents, il va tenter de sauver la situation, accompagné cette fois ci par la très belle Felicity Jones (qui a joué l'épouse de Stephen Hawkings dans le très beau "Une merveilleuse histoire du temps", avec Eddie Redmayne, oscarisé pour l'occasion).

Cette lutte va les amener de Florence à Venise, de Venise à Istambul, des villes aussi fascinantes que fantastiques, toujours bien mises en lumière par Ron Howard.

Si vous n'adhérez pas aux histoires de Dan Brown, vous n'irez probablement pas voir ce film, dans le cas contraire, vous ne serez pas trop déçus, le film est relativement fidèle au livre et la fin est tout autant spectaculaire..