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Empire likes back
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Le cinéma, c'est comme la musique: il faut des temps forts et des temps faibles. Pas que des faibles
En général, l'expérimental, j'en vois pas mal et j'aime bien. Et j'adore Ionesco, c'est dire.
Je pense que tout le monde s'accorde sur le fait qu'il y a chez Lynch l'étoffe d'un grand réalisateur, d'un unique, d'une cinématographie particulière.
Mais là, là je ne comprends pas l'engouement pour ce film.
Qu'il n'y ait pas d'histoire mais plutôt des évocations, des bribes, des idées qui fusent, soit.
Mais le cinéma, c'est comme en musique : il faut des temps fort et des temps faibles. On peut même faire un temps fort pour deux temps faibles. Mais que des temps faibles... ho bah non ! pas sur 3h de film !
J'ai pour moi la très grande fierté d'être arrivé au bout de ton film mon cher Lynch, ça a été dur, j'ai pris sur moi, je suis arrivé jusqu'au générique. Et c'était un supplice.
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Écrit par
Créée
le 26 juin 2017
Critique lue 279 fois
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