Loin, très loin devant d’autres essais de cinéma contemplatif en plein désert (au hasard, La Dernière Piste et Gerry, pénibles et chichiteux), Jauja s’impose comme un film trip parfaitement épanoui, aux choix esthétiques forts (le cadre, la lumière, le couleurs, mémorables), dont les personnages, à peine esquissés, suffisent cependant à faire vivre une succession d’images magnifiques, sans que l’on ait l’impression de se retrouver devant une émission de National Geographic.

Francois-Corda
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le 15 sept. 2018

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François Corda

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