Critiques de Je ne regrette rien de ma jeunesse

Torpenn
7

Et au milieu coule une rizière

En 1933, c'est le bordel dans l'Université de Kyoto. Entre la montée des marxistes au sein de la fac et les remous que la Mandchourie entraîne dans les milieux anti-militaristes, le gouvernement doit...

le 28 oct. 2012

44 j'aime

5

Grimault_
8

Liberté diluvienne

Tokyo 1933. Les fascistes sont en pleine chasse à l’homme, persécutant les professeurs libéraux et les élèves qui les soutiennent en manifestant pour la liberté. Yukie, jeune fille fougueuse et...

le 20 juin 2018

24 j'aime

11

Kobayashhi
7

Un Kurosawa décomplexé, ça envoi du lourd !

Je ne regrette pas ma jeunesse, ( hum en commençant par cette phrase, on dirait que j'écris mes mémoires ) est réalisé un an après la fin de la seconde guerre mondiale. En général, j'essaie d'avoir...

le 16 août 2013

17 j'aime

abscondita
7

" Je veux vérifier par moi-même ce que vivre veut dire."

Dans ce film tourné au lendemain de la seconde guerre mondiale, Kurosawa critique le régime japonais fasciste d’avant guerre, sa volonté expansionniste et sa répression des libertés. Il s’inspire de...

le 21 oct. 2022

13 j'aime

9

limma
7

Critique de par limma

Je ne regrette rien de ma jeunesse est considéré comme le premier chef d'œuvre de Kurosawa. Pourtant, qu'il est difficile de comprendre face à la mise en scène brouillonne voire éclatée, si l'on ne...

le 27 oct. 2019

9 j'aime

Morrinson
7

Le goût du passé

Kurosawa s'aventurant (rétrospectivement, vu d'aujourd'hui) sur les terres habituellement balisées par Ozu, avec quelques brefs détours du côté de Shindō (toujours aussi anti-chronologiquement),...

le 25 févr. 2017

8 j'aime

2

GigaHeartz
4

Un arbre de décision illustré.

Ma première sortie de route durant mon cycle Kurosawa. Je n'ai pas accroché à ce film que j'ai trouvé assez laborieux et ennuyeux. Ne connaissant absolument pas cette tranche de l'histoire nippone...

le 27 févr. 2016

2 j'aime

Arnaud_Mercadie
7

Manifeste d'espoir à un pays en ruine

Avec ce film, Kurosawa prend l’exact contre-pied idéologique de Le plus beau, dans lequel il valorisait l'effort de guerre, parenthèse malheureuse de sa carrière avec Ceux qui bâtissent l'avenir...

Par

le 26 avr. 2017

2 j'aime

Scolopendre
8

Je ne regrette rien de cette filmo

Quand je vais voir un film d'un réalisateur que je sais médiocre ou inconstant, j'ai ce réflexe de suspension de blasitude que tout cinéphile civilisé se doit d'avoir. J'y vais ouvert d'esprit, en me...

le 9 juin 2022

1 j'aime

DiogèneEtsonchien
7

Déjà virtuose... Attention ça spoile

Kyoto puis Tokyo, de 1933 à 1945. Le leader d'une bande d'étudiants, le charismatique Noge (Denjirō Ōkōchi), va mener un complot anti-fascistes, contre l'entrée en guerre du Japon. Dénoncé en 38...

le 20 avr. 2020

1 j'aime