Le Joker est une anomalie curieuse de la pop culture. L'expression d'un fantasme peu explicité dans les médias, celui de la folie libératrice. Souvent imprévisible, toujours cruel, il incarne la liberté dans tout ce qu'elle a de plus totale et redoutable, dénuée de toute barrière psychologique et de considération morale. Son sourire permanent, inspiré de celui de l'acteur Conrad Veidt dans le film L'Homme qui rit (adapté du roman éponyme de Victor Hugo), n'est que la représentation symbolique de sa philosophie : rire de tout, au détriment de la vie et de tout sens moral, et prouver que tout un chacun se trouve aux portes de la folie. Cette quête de sens en plein chaos prouverait presque parfois que le personnage n'est pas aussi fou qu'il le prétend mais qu'il aime se faire passer pour tel.


Depuis Alan Moore et son Killing Joke, le Joker a souvent été pensé comme un quidam ordinaire écrasé sous les coups du sort, un comique raté perdant subitement la raison au terme d'une journée particulièrement horrible. Indirectement créé par Batman, il deviendrait alors sa némésis absolue, le parfait miroir des frustrations morbides du justicier. Le clown ne s'est pourtant jamais cantonné à cette seule origine : il y a à peu près autant de versions du personnage que d'oeuvres où il apparaît. Ainsi la plupart des comics refusent tout retour aux origines du Joker, les auteurs préférant y voir un criminel anonyme, environné d'une aura de mystère nourrie par son absence de passé. Le principe fut habilement repris par les frères Nolan dans The Dark Knight qui jetait le personnage quasiment in media res, le Joker incarné par Heath Ledger s'amusant ensuite à distiller de fausses informations au compte-gouttes sur son passé tout en en gardant le secret. Du côté des quelques rares origines du personnage, on trouvera bien sûr celle du film de Tim Burton, reprise plus tard dans la série animée de Bruce Timm : le Joker s'appelait en fait Jack Napier et se présentait comme un gangster psychotique, meurtrier du couple Wayne, avant même sa transformation en Joker. Jack Napier était aussi le nom choisi récemment par l'auteur Sean Murphy dans sa série White Knight mais pour des origines renvoyant plutôt à celles évoquées précédemment par Alan Moore. En 2017, l'interprétation excessive et sans finesse de Jared Leto dans le rôle du Joker de Suicide Squad écorcha quelque peu la représentation du clown prince du crime. Dans le film de David Ayer, le "Joker" se voyait repensé façon psycho-lover, avec quelques ricanements débiles, un "damaged" inutile sur le front (cela revenait à tamponner "dangerous" sur le casque de Vador) et une Harley Quinn amoureuse aux basques. Ce chef de gang sadique ressemblait finalement plus au cruel proxénète Drexel de True Romance qu'au psychopathe imprévisible et ricanant des comics et des précédents films. Si certains ont salué la prestation cabotine de Leto, la plupart des fans ont préféré vite oublier cette imposture et regretter la performance géniale de Ledger.


C'est seulement quelques mois après la sortie (et le succès immérité de Suicide Squad) que Warner donna le feu vert à un projet d'origin story dédié au clown prince du crime. Pensé comme un film indépendant du DCEU de la Warner, le film devait être initialement un opus autonome avec son propre univers, déconnecté des piètres exploits de la Justice League. Alors qu'il fut un temps rattaché au projet, lequel partageait plusieurs points communs avec deux de ses premiers succès (Taxi Driver et The King of Comedy), Martin Scorsese préféra passer la main pour se consacrer à son funèbre The Irishman. L'auteur de Casino arguera plus tard que les nombreux parallèles avec les comics, exigés par le script et le studio, l'empêchèrent de se consacrer corps et âme au projet. Sans rentrer dans le débat opposant Scorsese et les studios Disney (on connait tous maintenant la position adoptée par Scorsese vis-à-vis du monopole des comics books movies au cinéma), et même si l'avis du cinéaste me semble tout à fait pertinent, il est évident que le film consacré au Joker aurait aussi très bien pu relater l'histoire d'un personnage inédit, ce qui était en fait le voeu de Scorsese. Les liens avec la mythologie du Batman ajoutant bien sûr beaucoup à la force du scénario final de Todd Philips, ils auraient aussi bien pu être facilement contournés pour offrir un univers original. Bref, Scorsese passa le relais à Todd Philips, se contentant d'un poste de producteur honorifique (mention qu'il abandonnera quelques mois plus tard). Une succession qui n'avait a priori rien de rassurante au vu de la filmographie de Philips qui n'avait alors réalisé qu'une succession de films de potes (la trilogie Very bad trip) et de comédies décalées (Starsky et Hutch, War dogs) et qui se présentait plus comme un yes man sans génie que comme un véritable auteur possédant une vision forte de ce que deviendrait son oeuvre.


Pourtant Philips prendra le projet très au sérieux et s'inspirera beaucoup du cinéma de son illustre prédécesseur ainsi que du cinéma urbain des années 70 pour tracer les contours sordides de cette origin story. Joker se déroule ainsi à l'aube des années 80 dans une Gotham étouffante et déliquescente qui évoque pour beaucoup la New York miséreuse telle qu'elle fut filmée par des auteurs comme Scorsese (Taxi Driver), Lumet (Un après-midi de chien) ou Schlesinger (Macadam Cowboy) et ressemble aussi beaucoup à la Grosse Pomme sordide illustrée par Zack Snyder dans Watchmen. Une ville malade, rongée par la violence et la bêtise crasse, et où se perd un protagoniste en souffrance, victime pathétique d'un système malade qui broie les déshérités et les enfonce plus bas que terre. Le genre de mec à chuter le nez dans la merde et sur lequel les plus pourris voudront marcher pour qu'il la bouffe. Inadapté social luttant contre la schizophrénie, souffrant de crises de rire incontrôlables et moqué pour son handicap, Arthur Fleck est un homme malheureux qui se force chaque matin à sourire devant le miroir et ne tient le coup que grâce à ses rêves de reconnaissance. Il partage sa vie entre un boulot de clown de rue, les soins qu'il apporte à sa mère névrosée et l'admiration qu'il voue au présentateur vedette Murray Franklin, véritable décalque du personnage de Jerry Langford (dans The King of Comedy), et qu'il se plait à imaginer comme le père qu'il n'a jamais eu. Alignant les coups durs, Arthur est bientôt humilié publiquement par son idole et viré de son boulot par la faute d'un collègue qui lui aura "prêté" une arme à feu. Un soir, alors qu'il se trouve dans une rame de métro, il assiste au harcèlement d'une jeune femme par trois traders éméchés qui ne tardent pas à s'intéresser à lui. Tabassé à mort par le trio de connards, Arthur sort son arme et fait feu sur deux de ses agresseurs. Il poursuit ensuite le troisième et profite de la chute de ce dernier pour l'abattre froidement. A partir de là, Fleck sombrera progressivement dans une spirale de folie meurtrière et profitera de la médiatisation de son meurtre pour se faire entendre de la manière la plus marquante qui soit. Alors qu'un vent de révolte gronde à Gotham et pousse une grande partie de la population à se rebeller contre un système de moins en moins égalitaire et qui profite aux plus nantis, Arthur Fleck devient bientôt, et contre toute attente, le symbole d'un soulèvement populaire.


Véritable carton en salles à sa sortie, au point de dépasser le milliard de recettes, Joker réussit l'exploit de renouveler le genre sclérosé du comic movie tout en ouvrant définitivement la porte à un cinéma populaire plus adulte et beaucoup moins inoffensif. C'est d'autant plus impressionnant que sa classification R aux Etats-Unis aurait pu considérablement restreindre son public. Mis à l'index facilement par tout un tas de critiques bien-pensants (les plus inspirés d'entre eux ont osé dire que le film ne portait aucun propos), le film fut accusé de populisme grossier et fut cloué au piloris, notamment par la presse française, pour son discours subversif et son soit-disant appel au meurtre et au chaos, un peu comme l'avaient été en leur temps Orange Mécanique et Tueurs nés. D'autres critiques ont dénoncés les nombreuses similitudes du film avec d'autres oeuvres, arguant notamment que Joker trahissait un peu trop l'influence des films suscités de Scorsese. Ces critiques ont évidemment oublié que le cinéma (comme tous les autres arts) n'est qu'un long alignement d'oeuvres s'inspirant les unes les autres au fil des courants et des époques.
En réalité, le film de Todd Philips est devenu un phénomène parce qu'il semble faire écho à bon nombre d'injustices vécues encore aujourd'hui, et séduit le désir de révolte qui couve en nombre d'entre nous. Il est ainsi impossible de ne pas comprendre et compatir à l'injustice vécue par Fleck lorsque ce dernier semble littéralement piétiné et abandonné à son sort par un système inadapté aux "inadaptés". Souffrant de troubles neurologiques, lâché par sa psychiatre pour cause de rupture des aides sociales, et méprisé par ses contemporains pour sa "médiocrité" et sa différence, Arthur Fleck collectionne autant de coups durs que son homologue dans le comic The Killing Joke dont s'inspire en partie le film. Il est à l'image de cet anonyme devenu fou en contemplant son faciès dans une flaque d'eau croupie, un homme tellement abusé qu'il ne peut plus que prétendre à la folie pour se libérer de la souffrance et de ses entraves morales. Autrefois condamné à rire douloureusement, Arthur Fleck finira alors par se retourner contre ceux qu'il considère responsables de son échec et rira de lui-même avec l'ironie d'un martyr devenu coupable. Il est un peu comme la Selina Kyle du Batman Returns de Burton, qui franchit un soir le point de non retour en se contemplant détruite dans le miroir et qui, après avoir ravagé tout ce qui symbolisait sa vie, s'ouvre enfin à sa part de noirceur.


L'intelligence du film de Todd Philips se situe alors dans le délicat équilibre qu'il fait subir à l'empathie du spectateur. Dès les premières séquences, le réalisateur referme le cadre sur les errements de son protagoniste pour mieux saisir toute la tristesse de son quotidien. Ecrasé par un environnement injuste, misérable et agressif, Fleck semblera ainsi plusieurs fois au bord du craquage, tant nerveux (voir le sourire inquiétant qu'il adresse à son patron) que physique (la scène où Arthur, torse nu et filmé de dos, semble littéralement en train de se métamorphoser), révélant de la sorte les prémisses de sa folie meurtrière. D'où la volonté de Philips de suivre son personnage de très près, le filmant souvent de dos, mais gardant aussi une certaine distance avec lui, de manière à nous préparer à l'explosion qui va suivre. Il suffit de voir comme Arthur (à nouveau filmé de dos), las et vaincu, peine à gravir un immense escalier en fin de journée. Les mêmes marches qu'il dévalera plus tard dans un pas de danse désinhibé et proprement libérateur, célébrant de la sorte sa renaissance en Joker, après avoir massacré aux ciseaux le "responsable" de sa déchéance. Toute la mise en scène du film se trouve ainsi décernée à son protagoniste, elle s'attache à lui sans relâche et scrute au plus près ses errances pour mieux en observer la métamorphose.


Très loin d'excuser les crimes futurs de son anti-héros, Philips réussit à transformer un être fragilisé en véritable salopard, capable de nier ses origines et d'affirmer son existence par le meurtre cruel de plusieurs personnes dont sa propre mère. Car Fleck est un authentique monstre se passant de toute racine, la conséquence d'une société de privilégiés politiques crachant sur leur responsabilités (la paternité suggérée de Thomas Wayne est plus que symbolique). Il est la résultante du mépris des élites pour les "petits" (voir comment Wayne et même Alfred Pennyworth sont montrés comme des individus détestables), la parfaite incarnation d'une société devenue folle et dont la stabilité se dégrade à mesure que lui-même sombre dans la psychose.
Narrant son film du seul point de vue son protagoniste, Phillips emprunte alors à la folie de Rupert Punpkin dans The King of Comedy pour figurer celle, plus malsaine encore, de ce clown triste. On le voit dès la scène "fantasmée" où Fleck se rêve sur le plateau de Murray Franklin et y trouve un présentateur étrangement compatissant, lui parlant presque comme un père à son fils. Une scène charnière à partir de laquelle il devient parfois difficile de distinguer la réalité du délire vécu par Fleck à mesure qu'avance l'intrigue, d'autant plus que ses différentes phases de "transes" semblent l'éloigner encore plus de ses contemporains. Apparaissant comme de véritables soupapes émotionnelles pour le clown et la pleine expression chorégraphique de sa folie, ces scènes de danse, aussi gracieuses qu'inquiétantes, accentuent l'étrangeté d'un métrage dont la mise en scène épouse de plus en plus la psyché malade de son protagoniste.


Arthur Fleck est ainsi l'anti-thèse du Joker anonyme de Ledger, lequel était plus un génie du crime, amoral et libertaire, et un sociopathe méticuleux voulant faire croire à sa propre folie. Celui de Philips est véritablement l'expression d'un malaise social et d'une intelligence plus banale : il n'a rien de génial, est presque illettré, il se laisse porter par les événements et ses crimes sont aussi cruels que maladroits. Plus qu'un symbole de la révolte des "petits" contre les "grands", Fleck est un personnage évoluant sur le fil du rasoir et qui agit dans l'instant, sans aucun "plan véritable" mais avec une réelle soif de vengeance et de reconnaissance. Mis à l'index par les médias qui font du clown tueur un véritable monstre (voir le portrait robot visible en gros titre sur le journal), Fleck prend conscience de la répercussion importante de ses actes et se réjouit. Il expliquera ensuite, lors de la seconde scène avec sa psy, que pour la première fois de sa vie, il se sent exister.
A l'image du Joker des comics et des autres films, Fleck trouve ainsi une raison de vivre dans le chaos et la destruction. Mais moins que de fusillades et d'explosions, il s'agit ici surtout de la destruction de tout ce qu'il est et de ce qui le retient à sa souffrance profonde. S'estimant trahi par ses proches et son idole, Arthur les niera par le meurtre pur et simple et s'affranchira ainsi de sa vie passée pour mieux renaître devant les caméras. Ses actes devenant alors le modèle de tout un peuple, il accédera enfin à une forme de reconnaissance quand il sera porté aux nues par une foule d'émeutiers au milieu d'une rue ravagée par les flammes. Le meurtre parallèle des parents de Bruce Wayne dans la ruelle par un anonyme au masque de clown sera la conséquence directe des actes du Joker nouvellement né et justifiera probablement plus tard l'antagonisme qui l'opposera à la chauve-souris. En attendant, le pauvre Arthur peut enfin rire franchement sans craindre d'en souffrir et savourer ainsi sa revanche sur un monde qui l'a jusque-là toujours honnis.


Alors que l'on avait tout à craindre de Todd Philips, celui-ci réussit contre toute attente à capter l'essence dérangeante d'une icone de la pop culture pour en proposer une adaptation tout aussi libre (il suffit de voir comment Philips détourne les références au Batverse) qu'audacieuse dans sa forme et son propos. Très loin de la soupe aseptisée des divertissements hollywoodiens actuels, et de la mode des marvelleries inoffensives, Joker prouve ainsi qu'il est encore possible de proposer un comic movie assez dérangeant et subversif pour ne pas prendre ses spectateurs pour des cons. A travers une formidable direction artistique, le réalisateur en profite pour tendre à notre époque, par le prisme du Gotham des années 80, le miroir d'une société profondément inégalitaire, encore peu concernée par ses laissés-pour-compte. Et renoue ainsi non seulement avec le contexte délétère de plusieurs bandes d'horreur sociale (impossible de ne pas penser à Maniac, Driller Killer et The King of the Ants), mais aussi avec le propos de certains films "socio-politiques" du Nouvel Hollywood en en convoquant tout autant la forme que la pertinence. Comme si le cinéaste voulait nous dire que le cinéma moderne a encore autant de choses à dire qu'à l'époque mais que les financiers d'Hollywood ne permettaient plus aujourd'hui aux auteurs la même liberté d'expression (il suffit d'ailleurs de voir comment Hollywood a dégagé depuis 15 ans tous les derniers cinéastes fortes têtes, les Verhoeven, De Palma, Carpenter et consorts). C'est ici toute l'ironie paradoxale d'un film qui prétexte l'adaptation d'un personnage de comic pour laisser transparaître un propos et une intrigue qui auraient pu finalement, être racontée de manière légèrement différente avec un protagoniste original, et donc sans la figure du Joker. Ceci dit, un film original sans le contexte du batverse n'aurait pas eu la même portée auprès du public et probablement pas le même succès. Joker gagne ainsi beaucoup par ses nombreuses références à l'univers de Batman qu'il détourne intelligemment. La meilleure d'entre elle reste d'ailleurs cette scène cruciale où, croyant découvrir la vérité sur ses origines, Arthur se rend devant le portail des Wayne et y trouve son reflet inversé (le jeune Bruce Wayne), plus jeune et plus riche, mais tout aussi malheureux car incapable de sourire aux pitreries d'un clown. Le Joker se découvre alors sans le savoir, un précieux adversaire, et le sourire qu'il lui dessine sur le visage n'est que l'expression dérangeante du lien qui les unit.


Au-delà de toutes ces références, le film ne serait évidemment pas aussi réussi sans la prestation magistrale de son acteur principal. Joaquin Phoenix montre ici assez d'audace pour succéder à Jack Nicholson et Heath Ledger, relègue Jared Leto aux oubliettes, et réussit à proposer une incarnation originale du plus célèbre adversaire de Batman. Plus viscérale que celle de ses prédécesseurs, son jeu à fleur de peau révèle un travail de composition tel qu'on en avait pas vu depuis longtemps et confirme, qui plus est, l'immense talent d'un des meilleurs acteurs de notre temps. Il suffit de voir toute l'ambiguïté dérangeante que Phoenix insuffle à son personnage au fur et à mesure qu'il se "transforme" durant le film et laisse éclater sa violence. Et toute la souffrance qu'il réussit à retranscrire à travers ses éclats de rires. Si Ledger crevait l'écran à son époque en incarnant toute l'aura charismatique d'un génie criminel implacable, Joaquin Phoenix lui, restitue toute la folie d'un personnage souffrant et en révolte. Il reste la première raison de (re)voir et d'admirer, encore et encore, ce formidable portrait de "vilain".

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le 6 mai 2020

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Buddy_Noone

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