On tient là même pas un squelette de Compsognathus. Assemblage de kaplas pour enfants. Vous savez les châteaux de kaplas en bois, où tout finit par s'écrouler.
Alors comme ça on apprend le réveil d'un volcan, trois ans après la destruction du parc. Les architectes s'étaient t-ils interpellés de construire sur cette île ? Le problème est que l'on se pose beaucoup de questions de ce genre. Je veux bien croire à la génétique mais dans paléontologique, il y a logique. Revers médaillé de la science-fiction raté, la porte ouverte au grand n'importe quoi. Des dinosaures transportés sans surveillance autour des cages. Les gardes ont pris l'apéro à plusieurs reprises. Claire en Brigitte Bardot protectrice des animaux, aura trouvé pire qu'elle. Le sommet du jackpot décevant arrivera dans le manoir Lockwood en Californie.
On découvre que le grand méchant résident Eli Mills, ressemblant à Emmanuel Macron. La création à profits du terrifiant Indoraptor perdra de son charme, lorsqu'il grimpera sur les toits de Poudlard dans Harry Potter et la Coupe de feu. Avez-vous vu sa ressemblance jaunâtre avec le dragon Magyar à pointe ? De leur coté, Chris Pratt et son vélociraptor se regardent en se disant ''qu'est ce qu'on fou là ? '' Définitivement, c'est manquer de respect aux Jurassik Park. Vous êtes nombreux à dissocier les World de ses trois ancêtres. Et je dois dire que vous avez tous raison. Le troisième film laisse présager un mauvais Transformers au milieu de la civilisation.
Je vais finir par les atouts qui n'apparaîtront que dans ma conclusion. Regardez bien l'affiche du film, ce sont les putain de trente premières minutes parfaites. Au final, restez sur l'île volcanique la prochaine fois.