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On ne reprend pas les mêmes acteurs (bon ok, j'oublie le grand le beau le magnifique James Duval qui accepte de prendre un coup de vieux cette fois-ci) et on continue.... à l'Université. toujours autant de sexe, de bombasses, de couleurs, de posage de caméra improbable, de split screen, et surtout des gros plans de visages, de bouffe, de corps... et toujours une putain de B.O.
après l'intrigue est digne d'un bon épisode de Scoubidou (la série des années 80, pas les films) dans un univers à la Parker Lewis, avec des scènes finales où on explique tout depuis le début très vite et dans du grand n'importe quoi, sauf que, comme d'hab' ça se finit pas trop bien pour les protagonistes (Doom generation etc.) , pas grave on les retrouvera (ou d'autres acteurs) dans un prochain.... Gregg Araki!!
On ne reprend pas les mêmes acteurs (bon ok, j'oublie le grand le beau le magnifique James Duval qui accepte de prendre un coup de vieux cette fois-ci) et on continue.... à l'Université. toujours autant de sexe, de bombasses, de couleurs, de posage de caméra improbable, de split screen, et surtout des gros plans de visages, de bouffe, de corps... et toujours une putain de B.O.
après l'intrigue est digne d'un bon épisode de Scoubidou (la série des années 80, pas les films) dans un univers à la Parker Lewis, avec des scènes finales où on explique tout depuis le début très vite et dans du grand n'importe quoi, sauf que, comme d'hab' ça se finit pas trop bien pour les protagonistes (Doom generation etc.) , pas grave on les retrouvera (ou d'autres acteurs) dans un prochain.... Gregg Araki!!
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Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes les films qui se passent dans une université américaine et qui te font regretter ta fac moisie en France et top 2010
Créée
le 26 oct. 2010
Critique lue 471 fois
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