Critiques de Keep the Lights On

JanosValuska
10

This is how we walk on the moon.

Ira Sachs. Un nom venu d’ailleurs. Je n’en soupçonnais tout du moins pas l’existence avant de me pencher sur ce film dont je reconnais avoir entendu beaucoup – pour le peu qu’on en avait parlé – de...

le 18 juil. 2014

5 j'aime

2

mymp
6

Portrait d’un fumeur de crack en jeune homme

C’est l’histoire de deux anges blonds qui se rencontrent un soir, juste pour un plan après quelques mots échangés, deux types blessés, attirés, qui se découvrent dans l’air chaud de New York, l’un...

Par

le 27 nov. 2012

3 j'aime

Cenwyn
3

Critique de par Cenwyn

Apparemment c'est autobiographique. Soit le film est très mal fait, soit la vie du réal était très chiante et on nous le fait bien comprendre. Ceux qui comparent ce truc geignard et visuellement...

le 2 avr. 2014

2 j'aime

RENGER
4

Si le film est imparfait sur toute la durée, il n’en reste pas moins captivant...

Avec Keep the Lights On (2012), le réalisateur s’inspire de son propre vécu pour y retranscrire une relation amoureuse complexe entre deux hommes dont l’un assume mal son homosexualité. Raconté sur...

le 5 sept. 2012

2 j'aime

Zarathoustra93
7

Les liaisons sulfureuses...

La chronique réaliste et poignante d’une liaison entre deux new-yorkais ou le portrait d’une époque dressé de manière talentueuse, posé mais corrosive. Une oeuvre toute en subtilité, sensibilité et...

le 20 sept. 2012

1 j'aime

JimAriz
7

Critique de par JimAriz

Tout comme Laurence Anyways un mois plus tôt, Keep the Lights on raconte sur dix ans l'histoire d'un couple, ses hauts et ses bas. Erik et Paul sont homosexuels mais n'envisage pas la chose de la...

le 26 août 2012

1 j'aime

TheMrOrange
6

Critique de par TheMrOrange

Mr Orange: Inspiré de la vie d'Ira Sachs, Keep the lights on conte l'histoire d'un couple New-Yorkais pas très gai. Rongés par des dépendances solitaires, Erik et Paul forment un couple...

le 7 juin 2012

1 j'aime

Flip_per
4

Critique de par Flip_per

L'usure de la relation ici peine à émouvoir. On entre dans le domaine du pathétique, dans le sens où la racine du mal qui orchestre la décomposition sentimentale est essentiellement pathologique,...

le 30 août 2023

FD29200
5

Critique de par F P

Les films mêlant homosexualité et drogue m'agacent toujours un peu. Ici on est dans le cliché d'un film tourné en 2012 mais relatant une histoire entre 1998 et 2009. C'est vu et revu.

Par

le 15 juil. 2021