Un looser reste un looser même avec des pouvoirs
Des vampires, des sorciers... est ce qu'on ne tournerait pas un peu en rond ? Disney s'attaque donc aux sorciers !
Le scénario est simple, un jeune homme n'ayant aucune confiance en lui se trouve être un descendant de Merlin, le grand sorcier tué par Morgane (la vilaine). Cette dernière est enfermée dans le corps de Veronica (l'amour de Balthazar) qui est elle-même enfermée dans une gigogne (vous savez ces poupées russes qui s'emboîtent l'une dans l'autre). Balthazar n'a qu'une solution: découvrir où se trouve le jeune homme pour pouvoir le former afin qu'il anéantisse la vilaine sorcière tout en sauvant tout ce petit monde. Comme on dit par chez nous « fingers in the nose ».
C'est ainsi que l'on est plongé, dès les premières minutes, dans l'action. Hélas ça ralentit sec dès l'arrivée de notre looser de héros. Au passage on appréciera le petit clin d'oeil à Toy Story que je vous laisse découvrir. Si notre héros peut prêter à sourire au début du film avec son allure courbée, ses répliques un peu nulles, ça devient vite lassant et on finit par ne plus beaucoup rire. Il n'y a pas vraiment d'alchimie entre Nicolas Cage et Jay Baruchel et en plus, la VF ne fait qu'empirer les choses (saleté de cinéma qui ne propose pas la vost). Monica Belucci ne sert pas à grand chose. La jeune Teresa Palmer est le petit rayon de soleil de ce casting.
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