5
Topaz
En 1969, Alfred Hitchcock présente "L'étau" un film d'espionnage inspiré du roman de Léon Uris "Topaz". En 1973, Henri Verneuil présente "Le serpent" inspiré du roman de Pierre Nord "Le 13ème...
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le 22 janv. 2014
8 j'aime
Dommage Alfred.
Forcé par un contrat qui l'obligeait à un studio, Hitchcock se vit imposé la réalisation de ce film d'espionnage aux apparences prometteuses : un casting international, un tournage aux antipodes du monde, une intrigue passionnante...
Le problème ? Quand Alfred ne veut pas faire quelque chose qu'il doit quand même faire, il le fait mal. Très mal voir. Les acteurs (principaux notamment) sont insipides, leurs personnages plats; l'intrigue trop froide, voir surgelée, et les décors de studios en carton-pâte semblent trembler sur chaque scène ! Et la médiocre voir inutile romance entre le personnage principal et une espionne cubaine ne fait qu'enterrer le film plus profond encore dans la mièvrerie.
Deux choses seulement sauve le film sans pour autant éviter le désastre : les acteurs français Michel Piccoli et Philippe Noiret, qu'Hitchcock voulait absolument rencontrer.
A savoir : le film comporte 3 fins différente. Mais aucune n'est bonne. Dommage.
Le problème ? Quand Alfred ne veut pas faire quelque chose qu'il doit quand même faire, il le fait mal. Très mal voir. Les acteurs (principaux notamment) sont insipides, leurs personnages plats; l'intrigue trop froide, voir surgelée, et les décors de studios en carton-pâte semblent trembler sur chaque scène ! Et la médiocre voir inutile romance entre le personnage principal et une espionne cubaine ne fait qu'enterrer le film plus profond encore dans la mièvrerie.
Deux choses seulement sauve le film sans pour autant éviter le désastre : les acteurs français Michel Piccoli et Philippe Noiret, qu'Hitchcock voulait absolument rencontrer.
A savoir : le film comporte 3 fins différente. Mais aucune n'est bonne. Dommage.
3
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le 18 mai 2014
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