Le troisième volet de la saga confronte Harry à un groupe de terroristes d’anciens vétérans de la guerre du Viêtnam.
Le film est réalisé par James Fargo à qui l’on doit le film « Doux, Dur et Dingue » (1978) toujours avec l’emblématique Clint Eastwood.
Avec cette suite, l’inspecteur Callahan révèle un peu plus sa personnalité. Se retrouvant confronté à une nouvelle lubie hiérarchique, qui souhaite intégrer plus de femmes en tant qu’inspecteur de police. Harry se retrouve donc à faire équipe à contre cœur avec une jeune recrue sans expérience du terrain.
Le coté macho de l’inspecteur se retrouve, dans un premier temps, conforté par la folie et l’extravagance de la jeune femme, mais très vite son jugement est désarçonné par le courage et la rapidité de l’implication de cette dernière, qui lui vaudra le respect.
Le film est un peu moins réussi, on assiste toujours aux nombreux K.O. suscités par des répliques verbales authentiques ainsi que par la haine d’Harry envers l’autorité scribouillarde. Mais je ne sais pas, le rythme s’essouffle un peu, malgré de nombreux cadavres sur le trottoir, et pour le coup, le mythe prend comme un coup dans l'aile. Zut !