Pharaon de Winter, petit-fils du peintre du même nom, vit seul avec sa mère dans le Nord. Il passe son temps libre à jardiner, à faire du vélo, mais surtout en compagnie de sa voisine Domino, dont il est secrètement amoureux. Lieutenant de police, il doit enquêter sur le viol et le meurtre d'une...
A entendre dans les deux sens du terme, avec ou sans majuscule.
Humanité
1. Ensemble des êtres humains, considéré parfois comme un être collectif ou une entité morale : Évolution de l'humanité. Agir par
amour de l'humanité.
2. Disposition à la compréhension, à la compassion envers ses semblables, qui porte à aider ceux qui en ont besoin : Traiter
quelqu'un avec humanité....
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Critique de L'humanité par shanghai
Pour le moins pas fan de Dumont, j'ai entrepris d'explorer l'intégralité de sa production pour saisir les origines du mal.
Il ne reste que 'Twentynine Palms', 'Flandres' et 'Hors Satan' sur la bucket list.
L'humanité m'a profondément ennuyé, mais j'ai trouvé dans ce film plus de vrai que dans ses productions récentes, ce qui me conduit à plus de magnanimité. Les fondations du cinéma de Dumont sont là, un rythme lent, une histoire inintéressante mais important peu, des...
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Inqualifiable . Je fais partie de ceux qui trouvent insupportable son style morbide, ses idées explicitement misanthropes.
Le film se trouve dans un schéma typique à la Pasolini, mélange de religiosité, d'excréments et de pitié ..
J'avais déjà perçu cette recherche du mystique toc dans son Camille Claudel , mais alors l'humanité en concentre toutes les horreurs, les obscénités et le ridicule ....
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H / h
Dumont a toujours insisté sur l'orthographe du titre de film : ce n'est pas "L'Humanité" mais "L'humanité" et ça change tout. Une simple histoire de majuscules et de typographie peut-être, mais qui fait aussi que ce titre est l'un des plus beaux titres au monde. Que ce n'est pas L'Humanité, cette idée abstraite qui plane au-dessus de nous et nous rassemble, mais l'humanité, ce mot qui se fond...
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LE CRI DU COEUR
Le second film de Bruno Dumont s’ouvre sur une rêverie, une certaine image du bonheur comme dirait Chris Marker : un pré, une herbe verte, le vent qui souffle les feuilles d’un arbre.
Puis un homme et le son de sa respiration haletante. Il traverse la totalité du cadre, de gauche à droite. Son pas est pressé, quelque chose ne va pas. Il trébuche dans un champ et semble fusionner avec...
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Manger la terre
De ce film, vu à sa sortie, il ne me reste que des bribes, mais surtout le souvenir d'avoir été profondément marqué, notamment par cette séquence où le protagoniste s'allonge dans un champ fraichement labouré et mange les mottes de terre. Ce rapport à la matière, l'épaisseur des trognes, la durée, la sueur et les regards, contribuent à un climat étouffant de densité, et une humanité vue par le...
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Sans critique
Avertissement : ceci n'est pas une critique. J'écris juste un texte, une réflexion en lien avec le film. Une manière de bifurquer ou d'approfondir, c'est selon.
Pour celles et ceux qui me connaissent, même de loin, sur le forum général d'Allociné, savent que j'arbore depuis quelques années maintenant un avatar représentant un panneau de signalisation indiquant une place pour personnes...
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