L'insouciance de l'été, les années 50 entre Technicolor et super 8, l'enfance qui s'en va, l'amour qui nait, qui meurt là... Kurys film quelques instants intemporels, délicatement comme pour les faire résonner dans nos propres nostalgies. Ca ne suffit pas à créer de la matière. Juste une glace à l'eau qui fond au soleil, mêlant nos propres souvenirs à ceux-ci, le temps d'un été ou d'une soirée.

hubertguillaud
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le 27 mars 2021

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