Ce classique du drame indien fait penser à la fois au Néoréalisme italien pour sa description de la misère et de personnages réalistes, mais aussi aux films naturalistes car la végétation ou les animaux sont fort présents à l'écran. L'histoire est d'une simplicité déroutante pourtant on ne peut avoir que de l'empathie pour ces gens qui vivent dans des difficultés impensables. Évidemment, la technique est rudimentaire car le manque d'argent et de professionnels donnent des défauts mais le coeur y est.