Même s'il est vrai qu'avoir vu le film de Rossen apporte un peu d'épaisseur au ressenti de cette suite, utiliser des mots comme "fade" ou "soporifique" pour quelque chose qui ne l'est absolument pas, me semble terriblement embarrassant pour la personne qui les a utilisé à l'époque, surtout quand je parle de ma propre personne.
Newman est solide, Cruise est frais comme pas possible, et l'autre Scorsese semble s'amuser comme un enfant avec ses boules de couleurs, au sein d'un objet qui ronronne un peu dans sa dernière demie heure sans que cela n'enlève ce certain panache instillé au jeu en question tout du long.
Bon ça n'a pas sa place chez tout le monde on est d'accords, mais il me semble aussi que en passant ça ne fait de mal à personne.