En gros, mêmes remarques que sur L’Âge Ingrat juste au-dessus, sauf que ce coup-ci, il s’agit de l’association Fernandel-Bourvil. Ça cabotine encore plus d’ailleurs. Ce film, ce genre de films, se font souvent casser, je n’en gardais pas un souvenir impérissable, mais franchement j’y ai pris du plaisir, c’est de la madeleine pur beurre. Grangier s’inspire énormément de la comédie italienne, et je vous jure que si c’était Tognazzi / Gassmann qui interprétaient les deux rôles avec le nom de Risi en réal, tout le monde vanterait les mérites de cette excellente et malicieuse comédie. Mais il y a en France un plaisir à cracher sur le cinéma populaire early 60’s, ce n’est désormais plus mon cas.