La verge à Gégé
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Il faut un certain temps pour rentrer dans cette œuvre, dont il est difficilement compréhensible qu'elle se soit laissée aller au X, qui n'y est même pas un outil cinématographique, et qui sert seulement à établir une sorte d'intimité fade entre le spectateur et le couple. Cela pouvait se faire sans les bribes érotiques dont Marco Ferreri fait usage. De plus, le personnage de Depardieu est présenté comme un égoïste sans nuances, et c'est lourd à supporter comme à comprendre pendant une heure et demi. En fait, le réalisateur emploie ces moyens pour s'ouvrir l'opportunité d'un fort symbolisme final qui va renier toutes les croyances instillées jusque là chez le spectateur. Il ne reste alors qu'à décider si tout ça en valait la peine, mais on tendra le plus souvent à dire que non ; tout un film n'est pas au service de sa fin.
Créée
le 18 mars 2018
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