Pour un cinéaste, engager Catherine Frot, c'est s'attirer presque à coup sûr le capital sympathie du (grand) public mais c'est aussi, si l'on n'y prend grade, la conforter dans une image de râleuse qui a malgré tout un cœur qui bat fort pour la justice et la solidarité. Le deuxième long-métrage de Pierre Pinaud, La fine fleur, n'a pas besoin d'insister, on sait dès les premiers instants à... Lire la critique de La Fine fleur