Comment cela va t il se finir ? C'est la question que l'on se pose dès le début de "la folle journée de Ferris BUELLER". Ferris BUELLER est un cancre ultra populaire au sein de son lycée qui décide de sécher les cours durant une journée. En même temps se déroule des histoires parallèles qui finiront par se rejoindre : la Ferrari, l'obsession du proviseur pour Ferris, l'irritation de la sœur a l'encontre de Ferris et la "maladie" de Ferris...........oui, il est le centre du film.
On a l'impression de voir un épisode de "Mission Impossible", Ferris BUELLER a tout prévu : il est censé être malade et donc au lit, tout les contrôles qu'il pourrai subir, aussi bien visuels que téléphoniques : il a trouvé la parade, l'organisation pour que sa petite amie soit libérée de ses cours et le rejoigne est aussi un grand moment, un mélange de planification et d'improvisation ultra gonflée.
Reste les aléas, les hasards qui pourrai se retourner contre lui, mais là aussi, il trouve la parade, grâce, notamment, a un savoir faire du a des années d’entraînement mais aussi a une bonne part de chance.
Très agréable a voir malgré certaines longueurs, typique des teen movies des années 80, on s'identifie assez facilement a ce tire au flanc qui met toute son intelligence et son ingéniosité au service du glandage et de son propre plaisir, et, franchement, qui n'a jamais rêvé d'en faire autant.