Chute des classes
Evénement de l’année 1995, La Haine a tout d’un film contextuel qu’il est assez curieux de revoir, ce que proposent les salles à l’occasion de sa restauration 4K. Parce que la situation n’a pas...
le 26 juin 2023
83 j'aime
7
Un film qui part bien, en offrant un regard brut mais direct sur la réalité des banlieues non pavillionaires, et qui se termine en cliché mélo-dramatique où les personnages sont juste des stéréotypes chiants et lourdingues: le black zen pur produit de l'éducation nationale, le rebeu sociable et du coup un peu poreux à tout, et le héro qui craque et a le malheur d'être armé. Le film a quand même le mérite de traiter un sujet intéressant, donc bon. Mais déception, c'aurait pu etre beaucoup plus puissant
Créée
le 14 nov. 2015
Critique lue 290 fois
D'autres avis sur La Haine
Evénement de l’année 1995, La Haine a tout d’un film contextuel qu’il est assez curieux de revoir, ce que proposent les salles à l’occasion de sa restauration 4K. Parce que la situation n’a pas...
le 26 juin 2023
83 j'aime
7
J'ai essayé de regarder La Haine quand j'avais 16 ans, et à cette époque tout le monde se servait sur la mule et mettait une semaine pour arriver à voir quoi que ce soit. Bien évidemment un petit...
Par
le 1 mai 2012
54 j'aime
17
En 1995, Mathieu Kassovitz a ving-six ans, non pas seize. C'est pourtant à ce moment qu'il réalise La Haine. Il y montre la vie des banlieues, par le prisme de trois amis (un juif, un noir, un...
Par
le 13 nov. 2013
49 j'aime
20
Du même critique
Un 9 parce qu'"Un jour sur terre" est le meilleur film de son genre: un documentaire écolo qui séduit par sa beauté; le pari suggéré par le titre est tenu: observez la diversité des écosystèmes tel...
le 1 déc. 2014
3 j'aime
Un film sympa qui est illuminé par Tom hanks en cop complètement maniaque et le dogue de bordeau qui refait la déco en secouant ses grosses babines. La fin particulièrement touchante est le summum de...
le 1 déc. 2014
2 j'aime
1
"On ne juge pas la valeur d'une adaptation à sa fidelité à l'oeuvre originale; on la juge à la qualité de sa trahison", l'auteur du roman adapté lui-même dans la préface de la BD: je ne peux...
le 29 déc. 2017
1 j'aime