Véritable déclaration d'amour pour le septième Art, Damien Chazelle on profite également pour rappeler combien la musique et plus particulièrement le jazz a une place importante dans sa vie. Avec la même fougue dont il a fait preuve dans son premier long métrage Whiplash, le réalisateur réussi un véritable tour de force dans sa réalisation et sa mise en scène. Plan séquence, caméra endiablée, code couleur, musiques entraînantes, danse en claquettes, tout y passe. Une première moitié de film haute en couleur, qui perd ensuite en intensité sur la seconde moitié. Un choix logique, en total adéquation avec le scénario et l'état d'esprit du couple principal (impeccable dans leurs interprétations) mais qui casse le rythme du film.
Ma critique complète sur mon blog: http://mesmotsen169.blogspot.fr/2017/02/la-la-land.html