LA MAISON DU DIABLE (Robert Wise, USA, 1963, 112min) :


Ce sensationnel film d'épouvante surnaturel nous entraîne dans une demeure où le Dr Markway effectue des recherches dans le domaine de la parapsychologie, et invite un groupe de personnes septiques à tenter une expérience de perception extrasensorielle. Robert Wise livre une brillante mise en scène minutieuse suggestive avec une pertinente utilisation des décors du manoir lugubre comme personnage principal, et des effets sonores effrayants. Le cinéaste s'appuie sur un récit psychologique solide qui transcende une narration à l'atmosphère maléfique. Angoissant. Ambigu. Magistral.

seb2046
8
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.

Créée

le 13 nov. 2017

Critique lue 181 fois

1 j'aime

seb2046

Écrit par

Critique lue 181 fois

1

D'autres avis sur La Maison du diable

La Maison du diable
Torpenn
6

Le futur hanté rieur

Après le pré-adolescent zombie, je me nettoie les rétines avec un film d'épouvante à l'ancienne. Première différence, et non des moindres : la mise en scène. D'abord, elle existe, ensuite, c'est elle...

le 28 juil. 2011

50 j'aime

31

La Maison du diable
drélium
8

Sueurs froides

Énorme, grosse claque au final. Des frissons en pagaille, pas du genre tout de suite, plutôt à doses mesurées puis la partie finale qui fait on ne peut mieux son boulot. Pas un meurtre, pas une...

le 18 déc. 2012

46 j'aime

2

La Maison du diable
Gand-Alf
9

Born bad.

Afin de provoquer la peur et l'effroi, il n'y pas forcément besoin d'artifices grossiers et ça, le cinéaste Robert Wise semble bien l'avoir compris avec cette adaptation du roman de Shirley Jackson,...

le 17 mars 2014

40 j'aime

Du même critique

Plaire, aimer et courir vite
seb2046
8

Jacques et le garçon formidable...

PLAIRE, AIMER ET COURIR VITE (2018) de Christophe Honoré Cette superbe romance en plein été 93, conte la rencontre entre Arthur, jeune étudiant breton de 22 ans et Jacques, un écrivain parisien qui a...

le 11 mai 2018

36 j'aime

7

Moi, Tonya
seb2046
7

Wounds and cry...

MOI, TONYA (15,3) (Craig Gillespie, USA, 2018, 121min) : Étonnant Biopic narrant le destin tragique de Tonya Harding, patineuse artistique, célèbre pour être la première à avoir fait un triple axel...

le 19 févr. 2018

32 j'aime

2

La Villa
seb2046
7

La nostalgie camarade...

LA VILLA (14,8) (Robert Guédiguian, FRA, 2017, 107min) : Cette délicate chronique chorale aux résonances sociales et politiques narre le destin de 2 frères et une sœur, réunis dans la villa familiale...

le 30 nov. 2017

30 j'aime

4